Un événement exceptionnel à ne pas manquer pour tous les passionnés du 9e art francophone, le festival d’Angoulême dans l’Hexagone s’affirme comme une belle vitrine pour la bande dessinée malgache également. BAPTISÉ par ses inconditionnels comme étant la Mecque de la bande dessinée, le festival international de la bande dessinée d'Angoulême, plus communément appelé festival d'Angoulême ou FIBD, est le principal festival de bande dessinée francophone. Un rendez-vous incontournable pour tous les amateurs du 9e art, puisqu’il fédère chaque année des artistes de tous horizons tous aussi talentueux les uns des autres. Célébrant cette année sa 49e édition, ce Festival exclusif à cet art populaire et intemporel qu’est la bande dessinée a déjà vu passer également de talentueux bédéistes malgaches au cours de ces dernières décennies. Madagascar ayant toujours été connu pour le talent de ses artistes et où la bande dessinée occupe aussi une place d’honneur dans la culture populaire y a toujours été mise à l’honneur. Perpétuant ainsi cette tradition, ils sont quatre bédéistes malgaches à s’être découverts et redécouverts sur place cette année, sous l’étendard de la maison d’édition réunionnaise « Des bulles dans l’océan ». Habitués de ce rendez-vous, Rafally et Dwa continuent de fédérer leurs illustres pairs, tandis que Heri Shinato et Catmouse James y confirment leur talent. Tel un véritable carrefour culturel, qui favorise la créativité de plusieurs bédéistes, tout en exposant leurs histoires à travers les œuvres, livres et ouvrages sur lesquels se retranscrivent aussi leur imaginaire, le Festival d’Angoulême ne cesse d’émerveiller. Chacun à leur manière et surtout avec un style propre à chaque bédéiste ou auteur, chaque bande dessinée exposée et à découvrir dans le cadre du festival se doit d’avoir une portée internationale. Une portée internationale Le Festival d’Angoulême étant une belle vitrine pour le talent des bédéistes francophones, la qualité et l’excellence y sont de rigueur. Nos bédéistes malgaches ne déméritent pas dans ce milieu, puisque chaque année, le travail de Dwa comme celui de Pov auparavant, comme celui de Rafally, Heri Shinato et Catmouse James n’y passe pas inaperçu. À travers son récent album intitulé « Un Gasy à Paris », Dwa a ainsi eu le privilège de se découvrir auprès de la ministre de la Culture française, Roselyne Bachelot en personne, qui en a acquis un exemplaire. Rafally co-auteur de l’album « Akamasoa, Père Pedro, l’humanité par l’action » en vante le récit, tout comme l’histoire de cette illustre personnalité de la Grande île qu’est Pedro Opeka. Toujours aussi impressionnant par son talent, Heri Shinato se distingue avec son album intitulé « Unité Z » qui tend vers le genre science-fiction avec un style proche des comics-books américain. En dernier, mais pas des moindres, Catmouse James promeut le dernier tome de sa trilogie fantastique intitulé « Ary ». Des bandes dessinées malgaches de très bonne facture, que vous pourrez acquérir au sein du magasin « Le Maki a bonne mine » du côté d’Ampasamadinika.
Un événement exceptionnel à ne pas manquer pour tous les passionnés du 9e art francophone, le festival d’Angoulême dans l’Hexagone s’affirme comme une belle vitrine pour la bande dessinée malgache également. BAPTISÉ par ses inconditionnels comme étant la Mecque de la bande dessinée, le festival international de la bande dessinée d'Angoulême, plus communément appelé festival d'Angoulême ou FIBD, est le principal festival de bande dessinée francophone. Un rendez-vous incontournable pour tous les amateurs du 9e art, puisqu’il fédère chaque année des artistes de tous horizons tous aussi talentueux les uns des autres. Célébrant cette année sa 49e édition, ce Festival exclusif à cet art populaire et intemporel qu’est la bande dessinée a déjà vu passer également de talentueux bédéistes malgaches au cours de ces dernières décennies. Madagascar ayant toujours été connu pour le talent de ses artistes et où la bande dessinée occupe aussi une place d’honneur dans la culture populaire y a toujours été mise à l’honneur. Perpétuant ainsi cette tradition, ils sont quatre bédéistes malgaches à s’être découverts et redécouverts sur place cette année, sous l’étendard de la maison d’édition réunionnaise « Des bulles dans l’océan ». Habitués de ce rendez-vous, Rafally et Dwa continuent de fédérer leurs illustres pairs, tandis que Heri Shinato et Catmouse James y confirment leur talent. Tel un véritable carrefour culturel, qui favorise la créativité de plusieurs bédéistes, tout en exposant leurs histoires à travers les œuvres, livres et ouvrages sur lesquels se retranscrivent aussi leur imaginaire, le Festival d’Angoulême ne cesse d’émerveiller. Chacun à leur manière et surtout avec un style propre à chaque bédéiste ou auteur, chaque bande dessinée exposée et à découvrir dans le cadre du festival se doit d’avoir une portée internationale. Une portée internationale Le Festival d’Angoulême étant une belle vitrine pour le talent des bédéistes francophones, la qualité et l’excellence y sont de rigueur. Nos bédéistes malgaches ne déméritent pas dans ce milieu, puisque chaque année, le travail de Dwa comme celui de Pov auparavant, comme celui de Rafally, Heri Shinato et Catmouse James n’y passe pas inaperçu. À travers son récent album intitulé « Un Gasy à Paris », Dwa a ainsi eu le privilège de se découvrir auprès de la ministre de la Culture française, Roselyne Bachelot en personne, qui en a acquis un exemplaire. Rafally co-auteur de l’album « Akamasoa, Père Pedro, l’humanité par l’action » en vante le récit, tout comme l’histoire de cette illustre personnalité de la Grande île qu’est Pedro Opeka. Toujours aussi impressionnant par son talent, Heri Shinato se distingue avec son album intitulé « Unité Z » qui tend vers le genre science-fiction avec un style proche des comics-books américain. En dernier, mais pas des moindres, Catmouse James promeut le dernier tome de sa trilogie fantastique intitulé « Ary ». Des bandes dessinées malgaches de très bonne facture, que vous pourrez acquérir au sein du magasin « Le Maki a bonne mine » du côté d’Ampasamadinika.