Quatre associations de jeunes et de femmes en milieu rural se lancent dans la création de micro et petites entreprises dans la région Anosy. Autonomisation. Des jeunes et des femmes de la région Anosy commencent à se lancer dans l’entrepreneuriat en raison des opportunités qui s’offrent, mais aussi à cause d’un marché du travail défaillant. Pour promouvoir le travail décent et la création de valeur ajoutée, le projet « Appui à l’autonomisation des jeunes et des femmes en milieu rural par le renforcement de leurs capacités techniques et entrepreneuriales en agriculture, transformation et conservation », a appuyé vingt femmes et vingt jeunes. Outre la dynamisation de l’économie rurale, il vise à stimuler l’esprit entrepreneurial. Le projet est mis en œuvre par Entreprendre à Madagascar (EAM) et financé par le Bureau international du travail. « Ces jeunes et ces femmes se sont regroupés dans quatre associations. Notre objectif est de concrétiser leurs idées d’entreprise et de les rendre rentables en exploitant les potentiels de la région », explique Bodo Rarijason, directeur général d’EAM. Les bénéficiaires ont été formés en entrepreneuriat, en gestion simplifiée, en droit du travail et protection sociale, en leadership et en approche genre. Plusieurs filières À cela s’ajoutent les formations techniques pour la mise en place des unités de transformation. « Trois associations de femmes membres d’Entreprendre au féminin dans l’océan Indien ou EFOI ont bénéficié de ce projet. Elles ont choisi les filières pisciculture, huiles essentielle à base d’épice et l’aviculture. En tant que partenaire, l’EFOI participe activement dans l’accompagnement de ces associations pour la promotion de leur activité», ressort avec fierté Rasamoelinatsiky, coordinatrice de l’EFOI à Taolagnaro. Pour démarrer les activités, les associations ont reçu le matériel nécessaire à la production, à la transformation et à la conservation, selon leur domaine d’activité. À titre d’exemple, l’association qui a choisi d’investir dans la pisciculture, a été dotée d’une motopompe, d’un congélateur, de glacières, d’alevins et d’une banque alimentaire.
Quatre associations de jeunes et de femmes en milieu rural se lancent dans la création de micro et petites entreprises dans la région Anosy. Autonomisation. Des jeunes et des femmes de la région Anosy commencent à se lancer dans l’entrepreneuriat en raison des opportunités qui s’offrent, mais aussi à cause d’un marché du travail défaillant. Pour promouvoir le travail décent et la création de valeur ajoutée, le projet « Appui à l’autonomisation des jeunes et des femmes en milieu rural par le renforcement de leurs capacités techniques et entrepreneuriales en agriculture, transformation et conservation », a appuyé vingt femmes et vingt jeunes. Outre la dynamisation de l’économie rurale, il vise à stimuler l’esprit entrepreneurial. Le projet est mis en œuvre par Entreprendre à Madagascar (EAM) et financé par le Bureau international du travail. « Ces jeunes et ces femmes se sont regroupés dans quatre associations. Notre objectif est de concrétiser leurs idées d’entreprise et de les rendre rentables en exploitant les potentiels de la région », explique Bodo Rarijason, directeur général d’EAM. Les bénéficiaires ont été formés en entrepreneuriat, en gestion simplifiée, en droit du travail et protection sociale, en leadership et en approche genre. Plusieurs filières À cela s’ajoutent les formations techniques pour la mise en place des unités de transformation. « Trois associations de femmes membres d’Entreprendre au féminin dans l’océan Indien ou EFOI ont bénéficié de ce projet. Elles ont choisi les filières pisciculture, huiles essentielle à base d’épice et l’aviculture. En tant que partenaire, l’EFOI participe activement dans l’accompagnement de ces associations pour la promotion de leur activité», ressort avec fierté Rasamoelinatsiky, coordinatrice de l’EFOI à Taolagnaro. Pour démarrer les activités, les associations ont reçu le matériel nécessaire à la production, à la transformation et à la conservation, selon leur domaine d’activité. À titre d’exemple, l’association qui a choisi d’investir dans la pisciculture, a été dotée d’une motopompe, d’un congélateur, de glacières, d’alevins et d’une banque alimentaire.