Prix dérisoire. Aux explications des opérateurs en vanille, le prix de vente au kilo de vanille sèche avoisine les 500 000 ariary si normalement, cet épice se vend à 1 500 000 ariary aux exportateurs. « Il faut 7kg de vanille verte pour obtenir un kilo de vanille sèche. Nous achetons le vert à 220 000 ariary le kilo aux producteurs. La revente de la vanille traitée aux exportateurs doit être multipliée par sept soit 1 540 000 ariary le prix d’un kilo de vanille sèche. Mais la réalité est toute autre, nous les vendons à 550 000 ariary au plus », explique un opérateur de Mananara Nord. Un autre, dans la région Vatovavy Fitovinany, avance le même raisonnement dans ce rendement à calculer entre la vanille verte et la vanille sèche noire. « Nous prenons les qualités supérieures auprès de nos producteurs car les opérateurs exportateurs agréés cette année, ne sont pas nombreux et ils achètent, à leur tour, ce qui est de bonne qualité. Nous sommes obligés d’accepter leurs prix qui ne tiennentt pas toujours compte de cette perte de poids dans la préparation à une bonne qualité de l’épice », déplore le collecteur, qui doit encore considérer les taxes, le salaire des employés ou encore les divers coûts de transport. Il dit avoir collecté 5t de vanille verte depuis le début de l’année et peine à les écouler.
Prix dérisoire. Aux explications des opérateurs en vanille, le prix de vente au kilo de vanille sèche avoisine les 500 000 ariary si normalement, cet épice se vend à 1 500 000 ariary aux exportateurs. « Il faut 7kg de vanille verte pour obtenir un kilo de vanille sèche. Nous achetons le vert à 220 000 ariary le kilo aux producteurs. La revente de la vanille traitée aux exportateurs doit être multipliée par sept soit 1 540 000 ariary le prix d’un kilo de vanille sèche. Mais la réalité est toute autre, nous les vendons à 550 000 ariary au plus », explique un opérateur de Mananara Nord. Un autre, dans la région Vatovavy Fitovinany, avance le même raisonnement dans ce rendement à calculer entre la vanille verte et la vanille sèche noire. « Nous prenons les qualités supérieures auprès de nos producteurs car les opérateurs exportateurs agréés cette année, ne sont pas nombreux et ils achètent, à leur tour, ce qui est de bonne qualité. Nous sommes obligés d’accepter leurs prix qui ne tiennentt pas toujours compte de cette perte de poids dans la préparation à une bonne qualité de l’épice », déplore le collecteur, qui doit encore considérer les taxes, le salaire des employés ou encore les divers coûts de transport. Il dit avoir collecté 5t de vanille verte depuis le début de l’année et peine à les écouler.