Une atmosphère tendue. Durant l'ouverture de la session budgétaire au Centre de conférence international d'Ivato, hier, le message est formulé à l'endroit des boycotteurs des sénatoriales. Avec une allocution calme ornée d'un ton un peu ferme, Christine Razanamahasoa, présidente de l'Assemblée nationale d'indiquer que « ne cherchez pas l'impossible ». La guerre froide entre l'Assemblée nationale et le Sénat se poursuit même en début de la session parlementaire. Le désaccord entre les deux Chambres ne s'est pas limité au sujet de la commission mixte pari taire durant l'adoption des ordonnances présidentielles lors de la session extraordinaire en août. La mésentente demeure encore sur la tenue du scrutin du 11 décembre dont le reflet s'est explosé lors de la cérémonie d'ouverture de la session. La réplique à ceux qui se sont abstenus aux élections semblent être le fond du message du numéro Un de l'Assemblée nationale. La cheffe d'Institution a démenti l'hypothèse que les élections soient organisées dans le forcing. Les sénateurs, quant à eux, ont également ouvert la deuxième session ordinaire. Les paroles sont échangées entre les deux Chambres. L'image d'une mésentente profonde est tangible.
Une atmosphère tendue. Durant l'ouverture de la session budgétaire au Centre de conférence international d'Ivato, hier, le message est formulé à l'endroit des boycotteurs des sénatoriales. Avec une allocution calme ornée d'un ton un peu ferme, Christine Razanamahasoa, présidente de l'Assemblée nationale d'indiquer que « ne cherchez pas l'impossible ». La guerre froide entre l'Assemblée nationale et le Sénat se poursuit même en début de la session parlementaire. Le désaccord entre les deux Chambres ne s'est pas limité au sujet de la commission mixte pari taire durant l'adoption des ordonnances présidentielles lors de la session extraordinaire en août. La mésentente demeure encore sur la tenue du scrutin du 11 décembre dont le reflet s'est explosé lors de la cérémonie d'ouverture de la session. La réplique à ceux qui se sont abstenus aux élections semblent être le fond du message du numéro Un de l'Assemblée nationale. La cheffe d'Institution a démenti l'hypothèse que les élections soient organisées dans le forcing. Les sénateurs, quant à eux, ont également ouvert la deuxième session ordinaire. Les paroles sont échangées entre les deux Chambres. L'image d'une mésentente profonde est tangible.