Le Groupement de défense sanitaire de La Réunion, qui apporte un appui technique aux éleveurs et met à leur disposition des outils de lutte contre les nuisibles, organiseront dans quelques semaines les tout premiers États généraux de la santé animale à La Réunion. Il s'agit ici d'aider les filières de productions bovine, en invitant les producteurs à venir assister à des ateliers et une table ronde, pour la construction d'un projet commun de lutte collective sur le département. Car certains insectes et tiques sont nuisibles aux bovins d'élevage, transportant des micro-organismes responsables de maladies comme l'anaplasmose, la leucose bovine enzootique, ou la babésiose. Aujourd'hui, les éleveurs luttent chacun sur leur exploitation, en fonction de leurs moyens, contre ces maladies. Le problème, c'est que les tiques et insectes n'ont pas de limites, et ceux présents dans le voisinage peuvent causer des dommages sur les élevages d'à côté. «La maîtrise des populations de nuisibles, ainsi que les maladies qu'ils transmettent devraient être l'affaire de tous», souligne le Groupement de défense sanitaire, qui espère voir émerger des solutions lors de ces États généraux. Ainsi, tous les acteurs concernés par les productions bovines, qu'il s'agisse d'éleveurs, de vétérinaires, de coopératives, de consommateurs, de collectivités, d'instituts techniques ou de pouvoir publics, sont invités à y participer. © JIR
Le Groupement de défense sanitaire de La Réunion, qui apporte un appui technique aux éleveurs et met à leur disposition des outils de lutte contre les nuisibles, organiseront dans quelques semaines les tout premiers États généraux de la santé animale à La Réunion. Il s'agit ici d'aider les filières de productions bovine, en invitant les producteurs à venir assister à des ateliers et une table ronde, pour la construction d'un projet commun de lutte collective sur le département. Car certains insectes et tiques sont nuisibles aux bovins d'élevage, transportant des micro-organismes responsables de maladies comme l'anaplasmose, la leucose bovine enzootique, ou la babésiose. Aujourd'hui, les éleveurs luttent chacun sur leur exploitation, en fonction de leurs moyens, contre ces maladies. Le problème, c'est que les tiques et insectes n'ont pas de limites, et ceux présents dans le voisinage peuvent causer des dommages sur les élevages d'à côté. «La maîtrise des populations de nuisibles, ainsi que les maladies qu'ils transmettent devraient être l'affaire de tous», souligne le Groupement de défense sanitaire, qui espère voir émerger des solutions lors de ces États généraux. Ainsi, tous les acteurs concernés par les productions bovines, qu'il s'agisse d'éleveurs, de vétérinaires, de coopératives, de consommateurs, de collectivités, d'instituts techniques ou de pouvoir publics, sont invités à y participer. © JIR