Des villageois enlevés en pleine rue comme monnaie d’échange. Pour chacun de leurs comparses abattus par les gendarmes, un escadron de dahalo abat un villageois. Représailles meurtrières. Exécution d’otage pour chaque mort dans ses rangs. C’est par cette méthode sanguinaire qu’un escadron de quarante bandits de grand-chemin, prend à contre-pied, l’offensive des forces de gendarmerie à Beroroha. Hier matin, deux des six villageois pris en otage ont été froidement fusillés par les malfaiteurs à Mandronarivo, lorsque deux de leurs comparses sont tombés sous les balles des gendarmes. La progression des éléments des forces de gendarmerie qui venaient de frapper d’une main de fer, a, de ce fait tourné court, face à ces exécutions sur exécutions. Les représailles ayant coupé net leur virulente avancée, ils ne pouvaient que défendre leur position, donnant ainsi des longueurs d’avance aux dahalo, qui du coup, ont réussi à s’évanouir dans la nature, avec les otages épargnés ainsi qu’un troupeau de vingt-cinq têtes de bovidés. Dans l’expectative, les gendarmes engagés au combat ont lancé un appel de détresse à leurs frères d'arme de la compagnie militaire d’Ankazoabo-Sud, pour prendre les fuyards en étau. Des affrontements imminents sont signalés.
Des villageois enlevés en pleine rue comme monnaie d’échange. Pour chacun de leurs comparses abattus par les gendarmes, un escadron de dahalo abat un villageois. Représailles meurtrières. Exécution d’otage pour chaque mort dans ses rangs. C’est par cette méthode sanguinaire qu’un escadron de quarante bandits de grand-chemin, prend à contre-pied, l’offensive des forces de gendarmerie à Beroroha. Hier matin, deux des six villageois pris en otage ont été froidement fusillés par les malfaiteurs à Mandronarivo, lorsque deux de leurs comparses sont tombés sous les balles des gendarmes. La progression des éléments des forces de gendarmerie qui venaient de frapper d’une main de fer, a, de ce fait tourné court, face à ces exécutions sur exécutions. Les représailles ayant coupé net leur virulente avancée, ils ne pouvaient que défendre leur position, donnant ainsi des longueurs d’avance aux dahalo, qui du coup, ont réussi à s’évanouir dans la nature, avec les otages épargnés ainsi qu’un troupeau de vingt-cinq têtes de bovidés. Dans l’expectative, les gendarmes engagés au combat ont lancé un appel de détresse à leurs frères d'arme de la compagnie militaire d’Ankazoabo-Sud, pour prendre les fuyards en étau. Des affrontements imminents sont signalés.