Les travaux du Sénat se sont poursuivis hier par une séance consacrée aux principaux produits d’exportation du pays, notamment la vanille, le girofle et le cacao. Trois filières auxquelles Edgard Razafindravahy, ministre de l’Industria- lisation, du commerce et de la consommation, a apporté les éclaircissements nécessaires pour rassurer tous les esprits. Mais il a également parlé de la mise en œuvre du programme ODOF de son département. Par rapport aux diverses sollicitations mais également en réponse aux questionnements et inquiétudes qui ont circulé concernant la filière Vanille, le ministre a tout de suite mis les uns et les autres au parfum. « Jusqu'à présent, le gouvernement n'a pas fixé de prix minimum et nous sommes en ce moment dans un marché libre en matière de vanille. Mais bien que le marché soit libre, cela requiert quand même des mesures de protection des agriculteurs qui produisent la vanille pour qu’ils ne soient pas trop lésés. C’est dans cet esprit de patriotisme que le gouvernement en appelle à tous les hommes d’affaires et tous les acteurs à prendre soin des agriculteurs… », a-t-il expliqué. Dans le cadre de ces mesures de protection des agriculteurs, l’État avait fixé un prix-plancher à l’exportation de vanille, de 250 dollars le kilo, tandis que celui de la vanille verte sera acheté à 75.000 ariary. Cette décision a été prise pour que le prix de la vanille ne baisse pas. Cependant, les exportateurs et producteurs de vanille ont également décidé que l'exportation de la vanille sera libérée et que le prix minimum de 250 dollars sera supprimé.
Les travaux du Sénat se sont poursuivis hier par une séance consacrée aux principaux produits d’exportation du pays, notamment la vanille, le girofle et le cacao. Trois filières auxquelles Edgard Razafindravahy, ministre de l’Industria- lisation, du commerce et de la consommation, a apporté les éclaircissements nécessaires pour rassurer tous les esprits. Mais il a également parlé de la mise en œuvre du programme ODOF de son département. Par rapport aux diverses sollicitations mais également en réponse aux questionnements et inquiétudes qui ont circulé concernant la filière Vanille, le ministre a tout de suite mis les uns et les autres au parfum. « Jusqu'à présent, le gouvernement n'a pas fixé de prix minimum et nous sommes en ce moment dans un marché libre en matière de vanille. Mais bien que le marché soit libre, cela requiert quand même des mesures de protection des agriculteurs qui produisent la vanille pour qu’ils ne soient pas trop lésés. C’est dans cet esprit de patriotisme que le gouvernement en appelle à tous les hommes d’affaires et tous les acteurs à prendre soin des agriculteurs… », a-t-il expliqué. Dans le cadre de ces mesures de protection des agriculteurs, l’État avait fixé un prix-plancher à l’exportation de vanille, de 250 dollars le kilo, tandis que celui de la vanille verte sera acheté à 75.000 ariary. Cette décision a été prise pour que le prix de la vanille ne baisse pas. Cependant, les exportateurs et producteurs de vanille ont également décidé que l'exportation de la vanille sera libérée et que le prix minimum de 250 dollars sera supprimé.