Deux heures d’horloge. La rencontre, avant-hier à Anosy, entre Christophe Bouchard, ambassadeur de France, accompagné du chef de service économique, Eric Noatakis, et Rolland Ranjatoelina, ministre des Transports et de la météorologie, a dépassé toutes les attentes. « Nous avons pu faire le survol de tous les aspects, de la coopération bilatérale. Ils n’ont pas caché leur satisfecit des nouvelles donnes dans ce ministère. Ils ont alors fait part de la volonté, sinon le désir et le souhait d’Air France de collaborer avec Air Madagascar. Comme ce fut le cas dans le passé où nous leur avions prêté nos avions sur la desserte à destination et en provenance de l’Europe. Tous les modules peuvent être étudiés, appareils, partage des coûts, le savoir-faire. ». Rolland Ranjatoelina, taxé de ne rien savoir que des transports aériens, a pris à contre-pied ses détracteurs. « Je suis convaincu que le développement économique du pays viendrait des transports maritimes, fluviaux, routiers, avec une contribution non-négligeable de l’aérien» . En somme, une rencontre enrichissante en tous points de vue. Rolland Ranajatoelina jouit d’une certaine estime de la part de la communauté aéronautique française. Elle a salué sa nomination avec béatitude.
Deux heures d’horloge. La rencontre, avant-hier à Anosy, entre Christophe Bouchard, ambassadeur de France, accompagné du chef de service économique, Eric Noatakis, et Rolland Ranjatoelina, ministre des Transports et de la météorologie, a dépassé toutes les attentes. « Nous avons pu faire le survol de tous les aspects, de la coopération bilatérale. Ils n’ont pas caché leur satisfecit des nouvelles donnes dans ce ministère. Ils ont alors fait part de la volonté, sinon le désir et le souhait d’Air France de collaborer avec Air Madagascar. Comme ce fut le cas dans le passé où nous leur avions prêté nos avions sur la desserte à destination et en provenance de l’Europe. Tous les modules peuvent être étudiés, appareils, partage des coûts, le savoir-faire. ». Rolland Ranjatoelina, taxé de ne rien savoir que des transports aériens, a pris à contre-pied ses détracteurs. « Je suis convaincu que le développement économique du pays viendrait des transports maritimes, fluviaux, routiers, avec une contribution non-négligeable de l’aérien» . En somme, une rencontre enrichissante en tous points de vue. Rolland Ranajatoelina jouit d’une certaine estime de la part de la communauté aéronautique française. Elle a salué sa nomination avec béatitude.