Le covid-19 est donc bel et bien dans nos murs. Festivaliers, organisateurs d’événementiels et artistes sont nombreux à se conformer aux directives de l’État. Ce qui devait arriver, arrive donc. Si pas plus tard que cette semaine, on annonçait dans nos colonnes les difficultés auxquelles fait face la communauté culturelle et artistique nationale, voilà que le verdict vient de tomber. Dans son allocution d’hier soir, le président de la République l’a ainsi clairement affirmé, toute forme de rassemblement est désormais strictement interdite. Ainsi, concert, festival ou manifestation culturelle en tous genres ont été annulés d’une manière officielle pour certains ou reportés à une date ultérieure pour d’autres. Quatorze jours, c’est la durée de la période de « confinement » réglementaire instauré par les autorités à l’heure actuelle, soit deux semaines à restreindre toutes les activités visant à rassembler le public. Évidemment, pour les acteurs dans l’industrie de l’événementiel, la pilule reste difficile à avaler. Des Rencontres du film-court d’Antananarivo (RFC) au Libertalia Festival prévu à Nosy Be, ils se conforment tous aux réglementations imposées, avec une pointe de tristesse et surtout de déception derrière.
Le covid-19 est donc bel et bien dans nos murs. Festivaliers, organisateurs d’événementiels et artistes sont nombreux à se conformer aux directives de l’État. Ce qui devait arriver, arrive donc. Si pas plus tard que cette semaine, on annonçait dans nos colonnes les difficultés auxquelles fait face la communauté culturelle et artistique nationale, voilà que le verdict vient de tomber. Dans son allocution d’hier soir, le président de la République l’a ainsi clairement affirmé, toute forme de rassemblement est désormais strictement interdite. Ainsi, concert, festival ou manifestation culturelle en tous genres ont été annulés d’une manière officielle pour certains ou reportés à une date ultérieure pour d’autres. Quatorze jours, c’est la durée de la période de « confinement » réglementaire instauré par les autorités à l’heure actuelle, soit deux semaines à restreindre toutes les activités visant à rassembler le public. Évidemment, pour les acteurs dans l’industrie de l’événementiel, la pilule reste difficile à avaler. Des Rencontres du film-court d’Antananarivo (RFC) au Libertalia Festival prévu à Nosy Be, ils se conforment tous aux réglementations imposées, avec une pointe de tristesse et surtout de déception derrière.