La moitié en don et l’autre moitié en prêt. C’est ainsi que Jean-Yves Le Drian, ministre en charge de l’Europe et des Affaires étrangères français, a expliqué la répartition des 240 millions d’euro que son pays a décidé de mettre à disposition des autorités malgaches, pour appuyer la concrétisation du Plan émergence de Madagascar (PEM). Selon les explications du chef de la diplomatie française, le décaissement des 240 millions d’euro se feront sur une durée de quatre ans. « C’est une décision qui a deux objectifs pour nous », a expliqué le ministre Le Drian, face à la presse, à l’issue des échanges de délégation qu’il a conduite avec celle conduite par Andry Rajoelina, président de la République, au palais d’état d’Iavoloha, hier. Pour la France donc, le premier objectif de cet appui est « de répondre aux préoccupations des autorités de Madagascar, à ses choix qui ont été validés par des votes ». Face au locataire d’Iavoloha, Jean-Yves Le Drian a, en effet, indiqué que les 240 millions d’euros serviront à financer les priorités du PEM. Devant les journalistes, il a, néanmoins, indiqué que le deuxième objectif de l’Hexagone dans ce soutien financier est « d’être en priorité sur les enjeux de vie quotidienne, ce qui puisse montrer à la population que des progrès concrets existent dans le domaine de l’eau, de l’électricité et de l’éducation en particulier ». Il ajouté « ce sont les priorités de notre contribution dont nous venons de parler avec monsieur le Président et ses collaborateurs ». Outre l’annonce de cette contribution financière au PEM, le rendez-vous d’hier à Iavoloha, servait surtout pour la signature d’accord bilatéral portant sur le soutien à l’éducation. Un secteur sur lequel le président Rajoelina a souligné l’intention de l’Etat de mettre en place « la gratuité totale », à partir de l’année scolaire 2020-2021, tout en renforçant la mise à disposition des écoliers d’équipements et infrastructures scolaires suffisants et aux normes.
La moitié en don et l’autre moitié en prêt. C’est ainsi que Jean-Yves Le Drian, ministre en charge de l’Europe et des Affaires étrangères français, a expliqué la répartition des 240 millions d’euro que son pays a décidé de mettre à disposition des autorités malgaches, pour appuyer la concrétisation du Plan émergence de Madagascar (PEM). Selon les explications du chef de la diplomatie française, le décaissement des 240 millions d’euro se feront sur une durée de quatre ans. « C’est une décision qui a deux objectifs pour nous », a expliqué le ministre Le Drian, face à la presse, à l’issue des échanges de délégation qu’il a conduite avec celle conduite par Andry Rajoelina, président de la République, au palais d’état d’Iavoloha, hier. Pour la France donc, le premier objectif de cet appui est « de répondre aux préoccupations des autorités de Madagascar, à ses choix qui ont été validés par des votes ». Face au locataire d’Iavoloha, Jean-Yves Le Drian a, en effet, indiqué que les 240 millions d’euros serviront à financer les priorités du PEM. Devant les journalistes, il a, néanmoins, indiqué que le deuxième objectif de l’Hexagone dans ce soutien financier est « d’être en priorité sur les enjeux de vie quotidienne, ce qui puisse montrer à la population que des progrès concrets existent dans le domaine de l’eau, de l’électricité et de l’éducation en particulier ». Il ajouté « ce sont les priorités de notre contribution dont nous venons de parler avec monsieur le Président et ses collaborateurs ». Outre l’annonce de cette contribution financière au PEM, le rendez-vous d’hier à Iavoloha, servait surtout pour la signature d’accord bilatéral portant sur le soutien à l’éducation. Un secteur sur lequel le président Rajoelina a souligné l’intention de l’Etat de mettre en place « la gratuité totale », à partir de l’année scolaire 2020-2021, tout en renforçant la mise à disposition des écoliers d’équipements et infrastructures scolaires suffisants et aux normes.