Ankazobe - Pullulement des casses de caveaux


Un véritable casse-tête pour les forces de gendarmerie. Les pillages de sépultures et les casses de caveaux font rage dans les zones limitrophes d’Ankazobe. Alors que six personnes ont été jetées en prison au mois de janvier, pour un cambriolage de caveaux perpétré à Ambohitromby, d’autres pilleurs ont sévi dans le courant de ce mois et ils demeurent introuvables jusqu’à maintenant. Cette affaire naissante dépasse l’entendement. L’acte a été commis à Ambolotarakely Ankazobe. Quatre caveaux ont été dévalisés et des os longs ont été démontés sur cinquante-trois corps de source auprès de la Circonscription Inter-Régionale de la Gendarmerie Nationale (CIRGN) à Antananarivo. Les recherches des auteurs posent problèmes faute de témoignages et de pistes plus précises. Les circonstances, ainsi que les dates exactes ne sont pas déterminées. Les malfaiteurs ont réussi à  brouiller leur piste, du fait que les caveaux ayant été  vandalisés sont en retrait des zones habitées. L’endroit est situé à 7 kilomètres du village d’Ambatolampy, dans la zone limitrophe Sud-Ouest avec la commune de Manerinerina. Le plus souvent, les pillards résident dans les villages environnant les caveaux pris pour cible. Pour le cas des six arrestations suivies d’incarcération à Ambohitromby, les malfaiteurs étaient parmi les riverains même. Cette fois-ci, les gendarmes sont tombés sur un os pendant leur investigation, en raison de l’isolement de la nécropole vandalisée.
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