Une scène d’agression au couteau a semé la panique à Ambohimena, dans la ville d’Antsirabe, avant hier, vers 20h. Ce soir-là, un couple a été poignardé par un inconnu qui a pris le large dans le noir après avoir commis son forfait. D’après les témoignages glanés, le mari a été frappé à la gorge. Une estafilade a été relevée sur le front de sa femme. Sitôt avisée, la police du commissariat de la sécurité publique (CSP) d’Ambohimena n’a pas tardé à se rendre sur place. Elle a acheminé les blessés à l’hôpital Atsimo. « Les victimes sont conscientes pendant leur évacuation. Nous attendons leur dernière nouvelle. Ils ne sont toujours pas passés au commissariat pour être auditionnés », raconte la police. Le couple ne s’est rien fait voler. « Le fokonolona et nous avons demandé de l’aide à l’Unité d’intervention rapide (UIR) pour retrouver ensemble l’auteur toute la nuit et ce matin, mais en vain », explique un responsable du CSP local. L’entourage aurait ciblé un suspect. « Une telle agression se produit rarement dans ce quartier. Pourtant, le vol à la tire existe, quand c’est la fin du mois où les ouvriers de la zone franche touchent leur salaire », indique un habitant.
Une scène d’agression au couteau a semé la panique à Ambohimena, dans la ville d’Antsirabe, avant hier, vers 20h. Ce soir-là, un couple a été poignardé par un inconnu qui a pris le large dans le noir après avoir commis son forfait. D’après les témoignages glanés, le mari a été frappé à la gorge. Une estafilade a été relevée sur le front de sa femme. Sitôt avisée, la police du commissariat de la sécurité publique (CSP) d’Ambohimena n’a pas tardé à se rendre sur place. Elle a acheminé les blessés à l’hôpital Atsimo. « Les victimes sont conscientes pendant leur évacuation. Nous attendons leur dernière nouvelle. Ils ne sont toujours pas passés au commissariat pour être auditionnés », raconte la police. Le couple ne s’est rien fait voler. « Le fokonolona et nous avons demandé de l’aide à l’Unité d’intervention rapide (UIR) pour retrouver ensemble l’auteur toute la nuit et ce matin, mais en vain », explique un responsable du CSP local. L’entourage aurait ciblé un suspect. « Une telle agression se produit rarement dans ce quartier. Pourtant, le vol à la tire existe, quand c’est la fin du mois où les ouvriers de la zone franche touchent leur salaire », indique un habitant.