Des hommes tués et leurs têtes arrachées. Le phénomène continue de plus belle à Ilakaka. Après une série de crimes similaires, voilà que les voleurs de tête reviennent à la charge une fois de plus. Une découverte macabre qui donne la chair de poule. Hier à l’aube, un corps sans tête a été retrouvé non loin des carrières d’exploitation de saphir d’Andohanilakaka. Il s’agit du corps d’un jeune homme âgé d’une trentaine d’années tout au plus. Le corps décapité a été retrouvé près de la berge de la rivière Manombo. Ce meurtre par décapitation est le énième d’une longue série. Comme pour les cas précédents, l’identification n’a pas été tâche aisée du fait que les bourreaux ont emporté la tête. Le défunt avait le torse dénudé. Il portait juste un short couvert de poussière. Faute d’indices suffisants, l’identification est aléatoire. Parmi les badauds venus sur les lieux de la découverte macabre, certains estiment, toutefois, que le défunt est un travailleur des mines. Une voile entoure, néanmoins, le mobile du crime étant donné que le défunt ne semblait détenir sur lui ni importante somme d’argent ni objet de valeur susceptible d’expliquer le crime, à moins qu’il ait trouvé des cristaux de pierres précieuses qui ont suscité la convoitise de malfaiteurs qui sont allés jusqu’à lui ôter la vie.
Des hommes tués et leurs têtes arrachées. Le phénomène continue de plus belle à Ilakaka. Après une série de crimes similaires, voilà que les voleurs de tête reviennent à la charge une fois de plus. Une découverte macabre qui donne la chair de poule. Hier à l’aube, un corps sans tête a été retrouvé non loin des carrières d’exploitation de saphir d’Andohanilakaka. Il s’agit du corps d’un jeune homme âgé d’une trentaine d’années tout au plus. Le corps décapité a été retrouvé près de la berge de la rivière Manombo. Ce meurtre par décapitation est le énième d’une longue série. Comme pour les cas précédents, l’identification n’a pas été tâche aisée du fait que les bourreaux ont emporté la tête. Le défunt avait le torse dénudé. Il portait juste un short couvert de poussière. Faute d’indices suffisants, l’identification est aléatoire. Parmi les badauds venus sur les lieux de la découverte macabre, certains estiment, toutefois, que le défunt est un travailleur des mines. Une voile entoure, néanmoins, le mobile du crime étant donné que le défunt ne semblait détenir sur lui ni importante somme d’argent ni objet de valeur susceptible d’expliquer le crime, à moins qu’il ait trouvé des cristaux de pierres précieuses qui ont suscité la convoitise de malfaiteurs qui sont allés jusqu’à lui ôter la vie.