L’ordre du jour de la Chambre basse prévoit un rendez-vous entre les députés et le gouvernement du 24 au 31 mai. Comme le veut la Constitution, l’équipe Ntsay présentera son rapport d’activité. Le gouvernement au rapport. L’Assemblée nationale a adopté son nouvel ordre du jour mercredi. Le point saillant des activités parlementaires à l’institution de Tsimbazaza dans les prochains jours sera la présentation du rapport d’exécution du Programme général de l’État (PGE), par le gouvernement. Selon le nouveau planning de la Chambre basse, ce rendez-vous des députés avec le gouvernement se tiendra du 24 au 31 mai. Après la cérémonie d’ouverture de cette session parlementaire, le 2 mai, qui n’était qu’une formalité protocolaire, ces séances de cinq jours, ponctuées par le week-end de Pentecôte, à la fin du mois, seront les premières vraies confrontations entre les membres de l’Assemblée nationale et l’équipe de Christian Ntsay, Premier ministre. Un impératif constitutionnel impose cette confrontation entre les députés et l’équipe gouvernementale. “En début de chaque première session ordinaire, le gouvernement présente à l’Assemblée nationale un rapport d’exécution de son programme”, dispose la Loi fondamentale. Le rendez-vous qui démarre le 24 mai est particulier. Pour la première fois, l’équipe Ntsay et les membres de la Chambre basse échangeront de vive voix et face-à-face, après le soubresaut politique de décembre dernier. La deuxième session ordinaire de l’année 2022 a, en effet, été marquée par une tentative de motion de censure contre le gouvernement. Les événements se sont rapidement enchaînés au début du mois de décembre. À l’issue d’une séance à huis clos où le Premier ministre et la ministre de l’Économie et des finances ont été conviés, dans la soirée du 6 décembre, les signatures de cent-cinq députés favorables à la fronde ont été collectées. Y compris des députés issus de la majorité présidentielle IRD. La motion a ensuite été déposée au bureau de Christine Razanamahasoa, présidente de l’Assemblée nationale, le 7 décembre, en fin de matinée. Il a fallu un double communiqué de la dame au perchoir et du bureau permanent de l’institution de Tsimbazaza, pour court-circuiter la fronde contre le gouvernement. Les deux missives ont évoqué des anomalies dans la démarche des frondeurs pour botter en touche la motion.
L’ordre du jour de la Chambre basse prévoit un rendez-vous entre les députés et le gouvernement du 24 au 31 mai. Comme le veut la Constitution, l’équipe Ntsay présentera son rapport d’activité. Le gouvernement au rapport. L’Assemblée nationale a adopté son nouvel ordre du jour mercredi. Le point saillant des activités parlementaires à l’institution de Tsimbazaza dans les prochains jours sera la présentation du rapport d’exécution du Programme général de l’État (PGE), par le gouvernement. Selon le nouveau planning de la Chambre basse, ce rendez-vous des députés avec le gouvernement se tiendra du 24 au 31 mai. Après la cérémonie d’ouverture de cette session parlementaire, le 2 mai, qui n’était qu’une formalité protocolaire, ces séances de cinq jours, ponctuées par le week-end de Pentecôte, à la fin du mois, seront les premières vraies confrontations entre les membres de l’Assemblée nationale et l’équipe de Christian Ntsay, Premier ministre. Un impératif constitutionnel impose cette confrontation entre les députés et l’équipe gouvernementale. “En début de chaque première session ordinaire, le gouvernement présente à l’Assemblée nationale un rapport d’exécution de son programme”, dispose la Loi fondamentale. Le rendez-vous qui démarre le 24 mai est particulier. Pour la première fois, l’équipe Ntsay et les membres de la Chambre basse échangeront de vive voix et face-à-face, après le soubresaut politique de décembre dernier. La deuxième session ordinaire de l’année 2022 a, en effet, été marquée par une tentative de motion de censure contre le gouvernement. Les événements se sont rapidement enchaînés au début du mois de décembre. À l’issue d’une séance à huis clos où le Premier ministre et la ministre de l’Économie et des finances ont été conviés, dans la soirée du 6 décembre, les signatures de cent-cinq députés favorables à la fronde ont été collectées. Y compris des députés issus de la majorité présidentielle IRD. La motion a ensuite été déposée au bureau de Christine Razanamahasoa, présidente de l’Assemblée nationale, le 7 décembre, en fin de matinée. Il a fallu un double communiqué de la dame au perchoir et du bureau permanent de l’institution de Tsimbazaza, pour court-circuiter la fronde contre le gouvernement. Les deux missives ont évoqué des anomalies dans la démarche des frondeurs pour botter en touche la motion.