Ambiance vintage. Quatre-vingt-cinq anciennes voitures ont pris le départ de la deuxième édition du Rallye voitures histories de régularité, tôt hier matin, au stade Barea à Mahamasina. Une seule a dû abandonner. L’ambiance a été au rendez-vous en attendant le coup d’envoi, avec les bruits de moteur, les coups de klaxon, c’était une sorte de retrouvailles des collectionneurs d’anciennes voitures avec le public passionné venu nombreux, portable en main pour immortaliser l’occasion. Le champion du monde des Rallyes, Didier Auriol au volant d’une Lotus Caterham Cabriolet catégorie Old a pu finir la première étape de Mahamasina à Ampefy, malgré quelques soucis mécaniques. «Nous avons eu de petits soucis. Le moteur ne marche pas bien et ratatouille beaucoup. Nous avons eu du mal à avancer à certains endroits, surtout dans les montées. Nous avons eu un problème au démarrage… mais le principal est que nous avons fini cette première étape… Les routes sont magnifiques», relate Didier Auriol à l’arrivée à Ampefy.
Ambiance vintage. Quatre-vingt-cinq anciennes voitures ont pris le départ de la deuxième édition du Rallye voitures histories de régularité, tôt hier matin, au stade Barea à Mahamasina. Une seule a dû abandonner. L’ambiance a été au rendez-vous en attendant le coup d’envoi, avec les bruits de moteur, les coups de klaxon, c’était une sorte de retrouvailles des collectionneurs d’anciennes voitures avec le public passionné venu nombreux, portable en main pour immortaliser l’occasion. Le champion du monde des Rallyes, Didier Auriol au volant d’une Lotus Caterham Cabriolet catégorie Old a pu finir la première étape de Mahamasina à Ampefy, malgré quelques soucis mécaniques. «Nous avons eu de petits soucis. Le moteur ne marche pas bien et ratatouille beaucoup. Nous avons eu du mal à avancer à certains endroits, surtout dans les montées. Nous avons eu un problème au démarrage… mais le principal est que nous avons fini cette première étape… Les routes sont magnifiques», relate Didier Auriol à l’arrivée à Ampefy.