Terrible accident sur la voie ferrée d’Andekaleka dans la soirée de samedi. Dans le noir un train a heurté de front un 4x4 tuant trois techniciens de la Jirama dépêchés pour réparer une panne de la centrale hydroélectrique. Cruel destin pour les pauvres employés qui auraient refusé la mission s’ils savaient qu’ils avaient rendez-vous avec la mort. Mais ce n’est ni le premier ni le dernier accident de ce genre. Aucun passage à niveau n’est ni gardé ni éclairé constituant un danger public en permanence. Pas plus tard que vendredi à Ankadimbahoaka en plein embouteillage, un train s’annonçait avec grand renfort de klaxon. Beaucoup de voitures se trouvaient sur la voie ferrée ne pouvant ni reculer ni avancer. L’histoire ne dit pas que le train de marchandises a balayé tout sur son passage. On ignore comment le conducteur a fait pour éviter un carnage. Les trois techniciens de la Jirama n’ont pas eu malheureusement cette chance. D’autres usagers de la route pourraient partager leur sort si les passages à niveau restent dépourvus de la moindre sécurisation. C’est d’autant plus à craindre qu’avec la mise en fonction prochaine du train urbain le danger guette davantage les véhicules et les piétons. Il est peut-être temps d’y penser avec la remise en état des voies ferrées et la reprise annoncée du transport ferroviaire. Les passages à niveau non gardés ont fait plusieurs victimes dans le passé pour ne rappeler que ceux d’Androndrakely où plusieurs dizaines passagers d’un bus ont péri fauchés par un train en 1978. Quelques années plus tard au même endroit le chanteur Henri Ratsimbazafy se faisait surprendre dans sa voiture par un train. Plus de peur que de mal sinon on n’aura pas droit à son prochain spectacle pour ses 90 ans. Il a d’ailleurs écrit une chanson à cet effet remerciant le train. N’empêche le chemin d’enfer continue de guetter de nouvelles victimes.
Terrible accident sur la voie ferrée d’Andekaleka dans la soirée de samedi. Dans le noir un train a heurté de front un 4x4 tuant trois techniciens de la Jirama dépêchés pour réparer une panne de la centrale hydroélectrique. Cruel destin pour les pauvres employés qui auraient refusé la mission s’ils savaient qu’ils avaient rendez-vous avec la mort. Mais ce n’est ni le premier ni le dernier accident de ce genre. Aucun passage à niveau n’est ni gardé ni éclairé constituant un danger public en permanence. Pas plus tard que vendredi à Ankadimbahoaka en plein embouteillage, un train s’annonçait avec grand renfort de klaxon. Beaucoup de voitures se trouvaient sur la voie ferrée ne pouvant ni reculer ni avancer. L’histoire ne dit pas que le train de marchandises a balayé tout sur son passage. On ignore comment le conducteur a fait pour éviter un carnage. Les trois techniciens de la Jirama n’ont pas eu malheureusement cette chance. D’autres usagers de la route pourraient partager leur sort si les passages à niveau restent dépourvus de la moindre sécurisation. C’est d’autant plus à craindre qu’avec la mise en fonction prochaine du train urbain le danger guette davantage les véhicules et les piétons. Il est peut-être temps d’y penser avec la remise en état des voies ferrées et la reprise annoncée du transport ferroviaire. Les passages à niveau non gardés ont fait plusieurs victimes dans le passé pour ne rappeler que ceux d’Androndrakely où plusieurs dizaines passagers d’un bus ont péri fauchés par un train en 1978. Quelques années plus tard au même endroit le chanteur Henri Ratsimbazafy se faisait surprendre dans sa voiture par un train. Plus de peur que de mal sinon on n’aura pas droit à son prochain spectacle pour ses 90 ans. Il a d’ailleurs écrit une chanson à cet effet remerciant le train. N’empêche le chemin d’enfer continue de guetter de nouvelles victimes.