Activistes, influenceurs et lanceurs d’alerte doivent modérer leurs propos pour préserver l’ordre public. Les autorités seront strictes sur les dérives sur la toile. Avertisse-ment. Les autorités ont envoyé, hier, un signal fort aux utilisateurs des réseaux sociaux, en général, et aux facebookers en particulier, sur les risques encourus en cas de pratiques de désinformation en vue de troubler l’ordre public. « Face à la situation fragile du pays par rapport à la pandémie qui menace, les comptes personnels, pages et autres groupes de discussion véhiculant de fausses informations seront tout de suite bloqués. Le ministère des Postes, des Télécommunications et du Développement Numérique se chargera de rapporter les comptes, auteurs de ces médisances à la société Facebook. Cette dernière jugera de la véracité ou non des informations. La Cellule Contre la Cybercriminalité, pour sa part, se chargera des poursuites et des sanctions à hauteur des crimes. La liberté d’opinion est un droit acquis. Il y a, cependant, des circonstances qui nuisent à la vie publique qu’il faut maîtriser », a annoncé Andriamano-hisoa Raherijaona, ministre des Postes, des Télécommuni-cations et du Développement Numérique. L’initiative de ce département ministériel rejoint ainsi la politique du réseau social face aux intox qui sévissent. La guerre contre le coronavirus devra aussi se faire sur la toile. De nombreuses rumeurs sur la pandémie circulent actuellement sur Facebook, YouTube et consorts.
Activistes, influenceurs et lanceurs d’alerte doivent modérer leurs propos pour préserver l’ordre public. Les autorités seront strictes sur les dérives sur la toile. Avertisse-ment. Les autorités ont envoyé, hier, un signal fort aux utilisateurs des réseaux sociaux, en général, et aux facebookers en particulier, sur les risques encourus en cas de pratiques de désinformation en vue de troubler l’ordre public. « Face à la situation fragile du pays par rapport à la pandémie qui menace, les comptes personnels, pages et autres groupes de discussion véhiculant de fausses informations seront tout de suite bloqués. Le ministère des Postes, des Télécommunications et du Développement Numérique se chargera de rapporter les comptes, auteurs de ces médisances à la société Facebook. Cette dernière jugera de la véracité ou non des informations. La Cellule Contre la Cybercriminalité, pour sa part, se chargera des poursuites et des sanctions à hauteur des crimes. La liberté d’opinion est un droit acquis. Il y a, cependant, des circonstances qui nuisent à la vie publique qu’il faut maîtriser », a annoncé Andriamano-hisoa Raherijaona, ministre des Postes, des Télécommuni-cations et du Développement Numérique. L’initiative de ce département ministériel rejoint ainsi la politique du réseau social face aux intox qui sévissent. La guerre contre le coronavirus devra aussi se faire sur la toile. De nombreuses rumeurs sur la pandémie circulent actuellement sur Facebook, YouTube et consorts.