Besoin de produits aux normes. Tandis que la compétitivité des produits Vita Malagasy reste problématique, d’après le quatrième baromètre de l’industrialisation présenté au public, hier, des pistes de solutions sont déjà prises en compte par des entrepreneurs, mais d’une manière isolée. En réaction à cette réalité, Andrianavalo-manana Razafiarison, président du Fivondronan’ny Mpandra-haraha Malagasy ou groupement du patronat local, suggère « la facilitation de l’accès à la certification des produits locaux, à l’instar de ceux qui sont bio pour répondre aux attentes des consommateurs tant sur le plan local qu’international ». Selon toujours lui, qui est aussi enseignant de marketing à l’Institut National des Sciences Comptables et de l’Administration d’Entreprises, « des efforts sur le plan législatif sont déployés pour faire accéder l’ensemble des entrepreneurs à la valorisation de la certification de leurs produits ». Le syndicat des agriculteurs biologiques ou Symabio œuvre dans ce sens en projetant de soumettre au Parlement un projet de loi sur l’agriculture biologique. « Dans sa rédaction, ce texte inclut le coût de la certification dans le produit, étant donné que la tendance du marché reflète une préférence des consommateurs pour les produits certifiés dont le processus de fabrication ainsi que la provenance sont connus », d’après toujours Andrianavalomanana Razafi-arison. En Belgique, les importateurs des produits au départ de Madagascar, veulent, notamment, des noix, des fruits, des arômes ainsi que des épices, certifiés bio.
Besoin de produits aux normes. Tandis que la compétitivité des produits Vita Malagasy reste problématique, d’après le quatrième baromètre de l’industrialisation présenté au public, hier, des pistes de solutions sont déjà prises en compte par des entrepreneurs, mais d’une manière isolée. En réaction à cette réalité, Andrianavalo-manana Razafiarison, président du Fivondronan’ny Mpandra-haraha Malagasy ou groupement du patronat local, suggère « la facilitation de l’accès à la certification des produits locaux, à l’instar de ceux qui sont bio pour répondre aux attentes des consommateurs tant sur le plan local qu’international ». Selon toujours lui, qui est aussi enseignant de marketing à l’Institut National des Sciences Comptables et de l’Administration d’Entreprises, « des efforts sur le plan législatif sont déployés pour faire accéder l’ensemble des entrepreneurs à la valorisation de la certification de leurs produits ». Le syndicat des agriculteurs biologiques ou Symabio œuvre dans ce sens en projetant de soumettre au Parlement un projet de loi sur l’agriculture biologique. « Dans sa rédaction, ce texte inclut le coût de la certification dans le produit, étant donné que la tendance du marché reflète une préférence des consommateurs pour les produits certifiés dont le processus de fabrication ainsi que la provenance sont connus », d’après toujours Andrianavalomanana Razafi-arison. En Belgique, les importateurs des produits au départ de Madagascar, veulent, notamment, des noix, des fruits, des arômes ainsi que des épices, certifiés bio.