Le tribunal de Maroantsetra n’a pas hésité à appliquer la politique pénale ferme que le ministère de la Justice a adoptée, récemment, en matière de lutte contre les violences basées sur le genre (VBG). Il a placé en détention provisoire l’homme de 46 ans, accusé de viol sur une enfant de 4 ans habitant à Anandrivola Maroantsetra. Ce dernier s’est présenté devant les juges du tribunal de ce district, hier. Il attendra son procès en prison. Cette enfant a été vue sortir d’une forêt, à 150 mètres du village, vers 17 heures, le 13 novembre, après avoir été perdue de vue, pendant quelques heures. Cet homme qui n’est autre qu’un villageois célibataire à Anandrivola, aurait été vu sortir de cette forêt, avec la fillette. Il aurait fait demi-tour, lorsque quelqu’un l’a aperçu. Des médecins ont confirmé la violence sexuelle sur l’enfant. Cette agression a traumatisé l’enfant. « Elle refuse de parler de l’agression et pleure lorsqu’on aborde le sujet, cela même si c’est sa mère qui lui pose des questions », indique la Gendarmerie. Cet homme ne pourra pas bénéficier d’une mise en liberté provisoire, avant son procès. Les charges contre lui seraient suffisantes pour le placer sous mandat de dépôt.
Le tribunal de Maroantsetra n’a pas hésité à appliquer la politique pénale ferme que le ministère de la Justice a adoptée, récemment, en matière de lutte contre les violences basées sur le genre (VBG). Il a placé en détention provisoire l’homme de 46 ans, accusé de viol sur une enfant de 4 ans habitant à Anandrivola Maroantsetra. Ce dernier s’est présenté devant les juges du tribunal de ce district, hier. Il attendra son procès en prison. Cette enfant a été vue sortir d’une forêt, à 150 mètres du village, vers 17 heures, le 13 novembre, après avoir été perdue de vue, pendant quelques heures. Cet homme qui n’est autre qu’un villageois célibataire à Anandrivola, aurait été vu sortir de cette forêt, avec la fillette. Il aurait fait demi-tour, lorsque quelqu’un l’a aperçu. Des médecins ont confirmé la violence sexuelle sur l’enfant. Cette agression a traumatisé l’enfant. « Elle refuse de parler de l’agression et pleure lorsqu’on aborde le sujet, cela même si c’est sa mère qui lui pose des questions », indique la Gendarmerie. Cet homme ne pourra pas bénéficier d’une mise en liberté provisoire, avant son procès. Les charges contre lui seraient suffisantes pour le placer sous mandat de dépôt.