Les quelque quatre cents pêcheurs du lac Andranobe Est et Ouest, membres de la coopérative Fifimpava, sous la houlette du réseau Tafo Mihaavo Vakinankaratra, viennent de reprendre leurs activités. L’ouverture officielle de la pêche dans la région a eu lieu samedi dernier, après vérification des matricules des pirogues et du matériel. Cette année d’activité ne prendra fin qu’au 15 novembre 2020. Avec une production moyenne mensuelle de 2,400 tonnes de poissons, les membres des communautés de base (VOI) Tamia et MMFT assurent la qualité des produits vendus auprès des points de vente de leur coopérative, qui a comme objectif principal, le développement socioéconomique de ses membres. Afin d’atteindre cet objectif, la Fifimpiva qui existe depuis douze ans, s’efforce de professionnaliser ses membres pour qu’ils puissent offrir une meilleure qualité de service aux clients. « La coopérative se charge également d’apporter un appui technique aux membres et de faciliter la disponibilité des équipements», précise Jean De La Croix Rakotondramanana, président de la coopérative. Les communautés de base qui ont obtenu le transfert de gestion de ces ressources naturelles, doivent assurer leurs devoirs inscrits dans le cahier de charges: sécurisation et pérennisation des lacs et de leurs périphéries, rempoissonnement annuel.
Les quelque quatre cents pêcheurs du lac Andranobe Est et Ouest, membres de la coopérative Fifimpava, sous la houlette du réseau Tafo Mihaavo Vakinankaratra, viennent de reprendre leurs activités. L’ouverture officielle de la pêche dans la région a eu lieu samedi dernier, après vérification des matricules des pirogues et du matériel. Cette année d’activité ne prendra fin qu’au 15 novembre 2020. Avec une production moyenne mensuelle de 2,400 tonnes de poissons, les membres des communautés de base (VOI) Tamia et MMFT assurent la qualité des produits vendus auprès des points de vente de leur coopérative, qui a comme objectif principal, le développement socioéconomique de ses membres. Afin d’atteindre cet objectif, la Fifimpiva qui existe depuis douze ans, s’efforce de professionnaliser ses membres pour qu’ils puissent offrir une meilleure qualité de service aux clients. « La coopérative se charge également d’apporter un appui technique aux membres et de faciliter la disponibilité des équipements», précise Jean De La Croix Rakotondramanana, président de la coopérative. Les communautés de base qui ont obtenu le transfert de gestion de ces ressources naturelles, doivent assurer leurs devoirs inscrits dans le cahier de charges: sécurisation et pérennisation des lacs et de leurs périphéries, rempoissonnement annuel.