Le respect des droits moraux des artistes débattu, hier Un sujet suscitant constamment le débat dans le milieu culturel, le respect des droits d'auteur pour les artistes, notamment les chanteurs et compositeurs, reste constamment d'actualité. À la veille de la tenue d'un concert sur la scène du CCESCA à Antanimena par le chanteur Njakatiana qui interprètera les compositions de Bessa et de Jérôme Randria, les droits moraux vis-à-vis des ayants droit, à savoir la famille, sont remis en cause. La famille de Jérôme Randria tient en effet à faire savoir qu'elle n'a pas été consultée pour accorder son autorisation pour l'usage des compositions de l'artiste lors de ce concert, et que les organisateurs sont passés outre leur accord. Ce à quoi l'Office malgache des droits d'auteur (Omda), par l'intermédiaire de son responsable juridique Rarison Manitra a apporté une réponse, hier. Tant que les dites chansons restent à la portée du public, que son écriture et sa composition soient respectées, il n'y a aucun problème. Ceci étant, les droits financiers des auteurs et des ayants droit doivent toujours être impérativement honorés.
Le respect des droits moraux des artistes débattu, hier Un sujet suscitant constamment le débat dans le milieu culturel, le respect des droits d'auteur pour les artistes, notamment les chanteurs et compositeurs, reste constamment d'actualité. À la veille de la tenue d'un concert sur la scène du CCESCA à Antanimena par le chanteur Njakatiana qui interprètera les compositions de Bessa et de Jérôme Randria, les droits moraux vis-à-vis des ayants droit, à savoir la famille, sont remis en cause. La famille de Jérôme Randria tient en effet à faire savoir qu'elle n'a pas été consultée pour accorder son autorisation pour l'usage des compositions de l'artiste lors de ce concert, et que les organisateurs sont passés outre leur accord. Ce à quoi l'Office malgache des droits d'auteur (Omda), par l'intermédiaire de son responsable juridique Rarison Manitra a apporté une réponse, hier. Tant que les dites chansons restent à la portée du public, que son écriture et sa composition soient respectées, il n'y a aucun problème. Ceci étant, les droits financiers des auteurs et des ayants droit doivent toujours être impérativement honorés.