Désistement protocolaire. Si les rangs des chefs d'État sont clairsemés, ceux des premières dames, sont pratiquement déserts durant ce sommet du COMESA. Esseulée, Voahangy Rajaonarimampianina, première dame, a dû décider de ne pas prendre part à la table de ronde des premières dames, qui a suivi la cérémonie d'ouverture. Le rang protocolaire a fait que se soit Marie Lydia Toto, ministre de l'Enseignement technique, notamment, qui ait conduit la séance. Internet payant. Les journalistes nationaux et internationaux ne sont, décidément, pas choyés durant ce sommet économique. L'accès à Internet est, aussi, payant dans la salle de presse. Ce qui a amené des journalistes internationaux à décider d'envoyer leur article que lorsqu'ils ont accès à la salle de séance ou autre salle de réunion du CCI, où le WI-FI est gratuit. Les prises électriques du CCI ne sont, aussi, pas adaptées aux branchements de certaines machines informatiques et des adaptateurs ne sont pas disponibles. La distribution des tickets repas pour les journalistes internationaux a, aussi, connu quelques problèmes. Les journalistes nationaux eux, n'y ont pas droit. À la place ils ont, néanmoins, été gratifiés de sandwich. Une décision prise le jour même. MBS dénonce des brouillages. Conviant la presse, à son siège, à Faravohitra, hier, Joel Ralaivohita, directeur de publication de la station radio « Malagasy broadcasting system » (MBS), qui a, récemment, repris ses essais techniques, a dénoncé « les brouillages », de ses ondes. Joel Ralaivohita soutient que MBS a l'intention de porter plainte. Il déplore, par ailleurs, une différence de traitement entre les médias proches du pouvoir qui obtiennent aisément des autorisations d'émettre et ceux considérés d'opposition.
Désistement protocolaire. Si les rangs des chefs d'État sont clairsemés, ceux des premières dames, sont pratiquement déserts durant ce sommet du COMESA. Esseulée, Voahangy Rajaonarimampianina, première dame, a dû décider de ne pas prendre part à la table de ronde des premières dames, qui a suivi la cérémonie d'ouverture. Le rang protocolaire a fait que se soit Marie Lydia Toto, ministre de l'Enseignement technique, notamment, qui ait conduit la séance. Internet payant. Les journalistes nationaux et internationaux ne sont, décidément, pas choyés durant ce sommet économique. L'accès à Internet est, aussi, payant dans la salle de presse. Ce qui a amené des journalistes internationaux à décider d'envoyer leur article que lorsqu'ils ont accès à la salle de séance ou autre salle de réunion du CCI, où le WI-FI est gratuit. Les prises électriques du CCI ne sont, aussi, pas adaptées aux branchements de certaines machines informatiques et des adaptateurs ne sont pas disponibles. La distribution des tickets repas pour les journalistes internationaux a, aussi, connu quelques problèmes. Les journalistes nationaux eux, n'y ont pas droit. À la place ils ont, néanmoins, été gratifiés de sandwich. Une décision prise le jour même. MBS dénonce des brouillages. Conviant la presse, à son siège, à Faravohitra, hier, Joel Ralaivohita, directeur de publication de la station radio « Malagasy broadcasting system » (MBS), qui a, récemment, repris ses essais techniques, a dénoncé « les brouillages », de ses ondes. Joel Ralaivohita soutient que MBS a l'intention de porter plainte. Il déplore, par ailleurs, une différence de traitement entre les médias proches du pouvoir qui obtiennent aisément des autorisations d'émettre et ceux considérés d'opposition.