Un domaine qui reste encore à,maîtriser et à approfondir pleinement dans le contexte culturel national. Celui de la critique de film ou critique cinématographique se découvre un peu plus aux cinéphiles ces dernières années, grâce au festival Rencontres du film en collaboration avec la revue panafricaine des critiques ciné « Awotélé ». À travers diverses séries d'ateliers, ils sont ainsi journalistes culturels, bloggeurs, étudiants en cinéma ou en audiovisuel, voire passionnés et cinéphiles tout simplement, à faire preuve d'engouement pour l'art de la critique cinématographique. Depuis lundi, ils sont majoritairement des jeunes à se retrouver à l'Institut français de Madagascar (IFM) à Analakely pour s'imprégner d'un tout autre aspect du septième art. Emmenés par Domoina Ratsara, représentante d’Awotélé dans le cadre de ces RFC, les participants découvrent une nouvelle manière d'interpréter, de regarder et de jouir d'un film. « Regarder un film au-delà de son aspect divertissant, on invite tous ceux qui participent à ces ateliers à percevoir autrement le message, le contenu et la réalisation de ces œuvres. Pour ce faire, on échange nos représentations, mais aussi nos argumentations vis-à-vis d'un film, et pour ce, peu importe son genre », confie-t-elle. Ces ateliers ont pour but d’ancrer la pratique de l’activité critique dans le milieu du cinéma national et d’accompagner la création d’une communauté de critiques de films. Andry Patrick Rakotondrazaka
Un domaine qui reste encore à,maîtriser et à approfondir pleinement dans le contexte culturel national. Celui de la critique de film ou critique cinématographique se découvre un peu plus aux cinéphiles ces dernières années, grâce au festival Rencontres du film en collaboration avec la revue panafricaine des critiques ciné « Awotélé ». À travers diverses séries d'ateliers, ils sont ainsi journalistes culturels, bloggeurs, étudiants en cinéma ou en audiovisuel, voire passionnés et cinéphiles tout simplement, à faire preuve d'engouement pour l'art de la critique cinématographique. Depuis lundi, ils sont majoritairement des jeunes à se retrouver à l'Institut français de Madagascar (IFM) à Analakely pour s'imprégner d'un tout autre aspect du septième art. Emmenés par Domoina Ratsara, représentante d’Awotélé dans le cadre de ces RFC, les participants découvrent une nouvelle manière d'interpréter, de regarder et de jouir d'un film. « Regarder un film au-delà de son aspect divertissant, on invite tous ceux qui participent à ces ateliers à percevoir autrement le message, le contenu et la réalisation de ces œuvres. Pour ce faire, on échange nos représentations, mais aussi nos argumentations vis-à-vis d'un film, et pour ce, peu importe son genre », confie-t-elle. Ces ateliers ont pour but d’ancrer la pratique de l’activité critique dans le milieu du cinéma national et d’accompagner la création d’une communauté de critiques de films. Andry Patrick Rakotondrazaka