Les habitants de Mangarivotra Sud, à Toamasina ont découvert le corps sans vie d’une fille de 17 ans, hier matin. Elle a été victime d’un acte criminel. Macabre. En sang, une adolescente a été retrouvée morte près de la voie publique, dans le quartier de Mangarivotra Sud, à Toamasina, hier matin. Elle avait apparemment 17 ans, selon les témoignages recueillis par la police, alertée vers 7 heures. Elle portait un short bleu et un tee shirt léger. « À première vue, sa tête a été enveloppée dans un sachet. Une plaie a été constatée sur son cou. Elle aurait été tuée ailleurs à l’aide d’un objet tranchant, probablement un couteau, avant d’être déposée à cet endroit », explique le commissaire Gerverin Raelison, chef de la police judiciaire (PJ) de Toamasina, au téléphone. « Les auteurs de cet homicide restent introuvables. Nous n’avons pas encore rencontré la famille de la victime. Nous attendons qu’elle se manifeste. Nous avons déjà demandé au personnel de la morgue de nous informer si quelqu’un vient y récupérer la défunte », a-t-il noté.
Les habitants de Mangarivotra Sud, à Toamasina ont découvert le corps sans vie d’une fille de 17 ans, hier matin. Elle a été victime d’un acte criminel. Macabre. En sang, une adolescente a été retrouvée morte près de la voie publique, dans le quartier de Mangarivotra Sud, à Toamasina, hier matin. Elle avait apparemment 17 ans, selon les témoignages recueillis par la police, alertée vers 7 heures. Elle portait un short bleu et un tee shirt léger. « À première vue, sa tête a été enveloppée dans un sachet. Une plaie a été constatée sur son cou. Elle aurait été tuée ailleurs à l’aide d’un objet tranchant, probablement un couteau, avant d’être déposée à cet endroit », explique le commissaire Gerverin Raelison, chef de la police judiciaire (PJ) de Toamasina, au téléphone. « Les auteurs de cet homicide restent introuvables. Nous n’avons pas encore rencontré la famille de la victime. Nous attendons qu’elle se manifeste. Nous avons déjà demandé au personnel de la morgue de nous informer si quelqu’un vient y récupérer la défunte », a-t-il noté.