La 110ème édition du concert classique du midi est marquée d’une pierre blanche. Le LMM Saxophone Quartet a conquis la scène de l’IFM, hier. Un rendez-vous musical qui diffère des traditionnels concerts classiques de midi, auxquels l’association Madagascar Mozarteum habitue le public mélomane de la capitale. Le concert qui a sublimé la scène de l’IFM Analakely, hier après-midi, fut à la fois mélodieux, jovial et convivial. Avec à l’affiche le LMM Saxophone Quartet porté par une famille de musiciens exceptionnels, la 110ème édition de cet événement exclusif, qui promeut activement les vertus de la musique classique, s’est affirmée comme étant des plus agréables. À 13 heure tapantes comme à l’accoutumée, le rideau s’est levé, nous dévoilant quatre musiciens dont l’éclectisme musical se marie brillamment avec leur envie d’émerveiller le public. Une famille de saxophonistes qui n’est plus à présenter, mais que nombreux dans la salle ont été ravis de découvrir la fratrie Ramaroson avec By au soprano, Tohy au barytoon et Kanty au ténor, le tout sous la bienveillance de leur paternel Seta en alto. Le quartet s’est plu à nous conter diverses histoires à travers leurs instruments à cuivre. C’est ainsi d’une manière quasi-féerique que le LMM Saxophone Quartet s’introduit au public en interprétant « Dance of the sugar plum fairy » de Tchaikovsky.
La 110ème édition du concert classique du midi est marquée d’une pierre blanche. Le LMM Saxophone Quartet a conquis la scène de l’IFM, hier. Un rendez-vous musical qui diffère des traditionnels concerts classiques de midi, auxquels l’association Madagascar Mozarteum habitue le public mélomane de la capitale. Le concert qui a sublimé la scène de l’IFM Analakely, hier après-midi, fut à la fois mélodieux, jovial et convivial. Avec à l’affiche le LMM Saxophone Quartet porté par une famille de musiciens exceptionnels, la 110ème édition de cet événement exclusif, qui promeut activement les vertus de la musique classique, s’est affirmée comme étant des plus agréables. À 13 heure tapantes comme à l’accoutumée, le rideau s’est levé, nous dévoilant quatre musiciens dont l’éclectisme musical se marie brillamment avec leur envie d’émerveiller le public. Une famille de saxophonistes qui n’est plus à présenter, mais que nombreux dans la salle ont été ravis de découvrir la fratrie Ramaroson avec By au soprano, Tohy au barytoon et Kanty au ténor, le tout sous la bienveillance de leur paternel Seta en alto. Le quartet s’est plu à nous conter diverses histoires à travers leurs instruments à cuivre. C’est ainsi d’une manière quasi-féerique que le LMM Saxophone Quartet s’introduit au public en interprétant « Dance of the sugar plum fairy » de Tchaikovsky.