Initiative commune. Les marchands de lunettes à Andravoahangy ont décidé de remplacer les maisons en bois en dur. La démolition des anciennes boutiques a débuté, hier. « Ces boutiques ont été toujours construites en bois depuis son emplacement. Nous voulons les changer en dur pour qu’ils soient construits dans les normes. C’est nous-mêmes qui demandé au niveau de la Commune urbaine d’Antananarivo de pouvoir rénover cet endroit. Il existe un plan à suivre et nous avons réuni de l’argent. Il ne s’agit pas de parts égales mais nous nous entraidons. Les commerçants se sont tous déjà préparés. Les travaux ne doivent pas dépasser les deux mois », explique Manitra Ramefison, représentant des marchands de lunettes d’Andravoahangy. L’idée est de redonner une nouvelle image de la commercialisation de lunettes. Cent cinquante trois marchands ont occupé les boutiques pendant des années. Pour que le commerce ne soit pas complètement suspendu, certains vendeurs portent le numéro de pavillon et appellent les clients dans la rue. D’autres louent une petite place sur le trottoir juste à côté des boutiques démolies. «Ce sont juste des petites places provisoires pour que leur activité quotidienne continue. Il n’existe plus vraiment d’endroit dans le marché. Ils doivent rester dans les rues. Nous assurons seulement à ce qu’ils ne gênent pas la circulation », affirme Eric Augustin Rakotondrafara, chef des agents du marché d’Andravoahangy.
Initiative commune. Les marchands de lunettes à Andravoahangy ont décidé de remplacer les maisons en bois en dur. La démolition des anciennes boutiques a débuté, hier. « Ces boutiques ont été toujours construites en bois depuis son emplacement. Nous voulons les changer en dur pour qu’ils soient construits dans les normes. C’est nous-mêmes qui demandé au niveau de la Commune urbaine d’Antananarivo de pouvoir rénover cet endroit. Il existe un plan à suivre et nous avons réuni de l’argent. Il ne s’agit pas de parts égales mais nous nous entraidons. Les commerçants se sont tous déjà préparés. Les travaux ne doivent pas dépasser les deux mois », explique Manitra Ramefison, représentant des marchands de lunettes d’Andravoahangy. L’idée est de redonner une nouvelle image de la commercialisation de lunettes. Cent cinquante trois marchands ont occupé les boutiques pendant des années. Pour que le commerce ne soit pas complètement suspendu, certains vendeurs portent le numéro de pavillon et appellent les clients dans la rue. D’autres louent une petite place sur le trottoir juste à côté des boutiques démolies. «Ce sont juste des petites places provisoires pour que leur activité quotidienne continue. Il n’existe plus vraiment d’endroit dans le marché. Ils doivent rester dans les rues. Nous assurons seulement à ce qu’ils ne gênent pas la circulation », affirme Eric Augustin Rakotondrafara, chef des agents du marché d’Andravoahangy.