Nous n’avons vu que des agents de sécurité sur le chantier du site de réinstallation d'Andavamamba, hier. Les travaux semblent en suspens. « Les travaux sont suspendus depuis les mois de novembre et décembre. », confirme une source. « Il y a encore des problèmes à régler. », enchaîne cette source. Seule une petite partie du bassin tampon sur lequel sera construit vingt-neuf bâtiments et des infrastructures sociales, est remblayée, quelques mois après le début des travaux. Le relogement des ménages dans ces bâtiments, suite aux travaux de réhabilitation du canal C3, risque de ce fait d’être ajourné. Quatre-vingt-quatre ménages qui perdront leurs logements, suite aux travaux de réhabilitation du canal C3 financés par la Banque Mondiale, seront relogés dans ce site. D’autres familles affectées par ce projet ont demandé des indemnisations, comme il est déjà prévu dans le Plan d’action de réinstallation (PAR), prévu par le Projet de développement urbain intégré et de résilience (Produir). La grande majorité des concernés auraient déjà reçu leurs indemnisations. Les habitants d’Andavamamba vont augmenter, une fois ce projet terminé. « Notre quartier va certainement se développer. Nous demandons toutefois l’amélioration de l’ancien quartier, pour éviter le contraste avec le nouveau », lance le président du fokontany Andavamamba Anatihazo, Jean Roberson.
Nous n’avons vu que des agents de sécurité sur le chantier du site de réinstallation d'Andavamamba, hier. Les travaux semblent en suspens. « Les travaux sont suspendus depuis les mois de novembre et décembre. », confirme une source. « Il y a encore des problèmes à régler. », enchaîne cette source. Seule une petite partie du bassin tampon sur lequel sera construit vingt-neuf bâtiments et des infrastructures sociales, est remblayée, quelques mois après le début des travaux. Le relogement des ménages dans ces bâtiments, suite aux travaux de réhabilitation du canal C3, risque de ce fait d’être ajourné. Quatre-vingt-quatre ménages qui perdront leurs logements, suite aux travaux de réhabilitation du canal C3 financés par la Banque Mondiale, seront relogés dans ce site. D’autres familles affectées par ce projet ont demandé des indemnisations, comme il est déjà prévu dans le Plan d’action de réinstallation (PAR), prévu par le Projet de développement urbain intégré et de résilience (Produir). La grande majorité des concernés auraient déjà reçu leurs indemnisations. Les habitants d’Andavamamba vont augmenter, une fois ce projet terminé. « Notre quartier va certainement se développer. Nous demandons toutefois l’amélioration de l’ancien quartier, pour éviter le contraste avec le nouveau », lance le président du fokontany Andavamamba Anatihazo, Jean Roberson.