Les habitants du chef-lieu de la région Alaotra-Mangoro et de ses périphéries souffrent beaucoup de l’insécurité depuis le retour des coupures d’électricité. En pleine ville ou dans les fokontany environnants, des attaques à main armée se sont produites vers 3 heures du matin depuis quelques jours. Selon des victimes, les bandits trouvent toujours un moyen pour s’introduire dans la maison quels que soient les dispositifs de sécurité installés par les propriétaires. « Des cris ont jailli de toutes parts. Nous avons allumé une torche et avons vu des individus suspects sortir d’une maison. L’un était en train d’enfourcher une moto qu’il aurait volée. Puis, il est revenu prévenir ceux qui étaient encore à l’intérieur de ficher le camp », raconte une jeune fille. D’autres affirment que « les bandits ont surgi au moment où le couple commençait à s’assoupir (…) Ils lui ont donné des coups de hache au visage et à la tête. Ils étaient sûrement déjà tapis dans la pénombre de la maison avant d’agir ». Selon des voisins, les victimes de cette attaque mortelle qui s’est produite dans le quartier d’Andrarabarikely d’Ampasambazimba, sont des épiciers. Les bandits ont emporté toutes les marchandises qu’ils ont trouvées, y compris de petits paquets de biscuits et de cigarettes. D’autres victimes des attaques disent que les malfaiteurs ne choisissent plus leurs proies en s’introduisant par les fenêtres d’un étage dans le noir.
Les habitants du chef-lieu de la région Alaotra-Mangoro et de ses périphéries souffrent beaucoup de l’insécurité depuis le retour des coupures d’électricité. En pleine ville ou dans les fokontany environnants, des attaques à main armée se sont produites vers 3 heures du matin depuis quelques jours. Selon des victimes, les bandits trouvent toujours un moyen pour s’introduire dans la maison quels que soient les dispositifs de sécurité installés par les propriétaires. « Des cris ont jailli de toutes parts. Nous avons allumé une torche et avons vu des individus suspects sortir d’une maison. L’un était en train d’enfourcher une moto qu’il aurait volée. Puis, il est revenu prévenir ceux qui étaient encore à l’intérieur de ficher le camp », raconte une jeune fille. D’autres affirment que « les bandits ont surgi au moment où le couple commençait à s’assoupir (…) Ils lui ont donné des coups de hache au visage et à la tête. Ils étaient sûrement déjà tapis dans la pénombre de la maison avant d’agir ». Selon des voisins, les victimes de cette attaque mortelle qui s’est produite dans le quartier d’Andrarabarikely d’Ampasambazimba, sont des épiciers. Les bandits ont emporté toutes les marchandises qu’ils ont trouvées, y compris de petits paquets de biscuits et de cigarettes. D’autres victimes des attaques disent que les malfaiteurs ne choisissent plus leurs proies en s’introduisant par les fenêtres d’un étage dans le noir.