L’avenir du tourisme dans la région Boeny dépend en grande partie du Parc national d’Ankarafantsika. Aussi, un projet d’inscription de ce site dans la liste du patrimoine mondial de l’Unesco des forêts sèches est-il en cours. Dans cette optique, un atelier régional a été organisé, lundi après-midi à la salle de réunion du bloc administratif à Ampisikina Mahajanga. La réunion consistait en une consultation de tous les acteurs concernés, à savoir les responsables régionaux et locaux, ainsi que les autorités publiques et coutumières. Les responsables au sein du Madagascar National Parc, les populations locales, les ONG et les projets-programmes ainsi que les opérateurs économiques seront aussi consultés. Une demande de validation auprès des populations locales et des réunions publiques au niveau des sites ont été également organisées. « L’atelier régional a permis de valider la demande auprès de tous les acteurs. La région Boeny en bénéficiera de nombreux avantages. Entre autres, des aides dans la gestion des catastrophes naturelles, et des aides pour la protection des forêts. Mais surtout, le nombre des touristes qui visiteront le parc et la région Boeny augmentera », a expliqué le représentant de l’USAID, Lovasoa Andriamanantena. Pour être inscrit au patrimoine mondial de l’Unesco, dix critères sont au minimum exigés. Dans le cas du Parc national d’Ankafarantsika, un seul suffirait. « Le taux d’endémicité est suffisant pour convaincre les décideurs au sein de l’Unesco», a rassuré le responsable.
L’avenir du tourisme dans la région Boeny dépend en grande partie du Parc national d’Ankarafantsika. Aussi, un projet d’inscription de ce site dans la liste du patrimoine mondial de l’Unesco des forêts sèches est-il en cours. Dans cette optique, un atelier régional a été organisé, lundi après-midi à la salle de réunion du bloc administratif à Ampisikina Mahajanga. La réunion consistait en une consultation de tous les acteurs concernés, à savoir les responsables régionaux et locaux, ainsi que les autorités publiques et coutumières. Les responsables au sein du Madagascar National Parc, les populations locales, les ONG et les projets-programmes ainsi que les opérateurs économiques seront aussi consultés. Une demande de validation auprès des populations locales et des réunions publiques au niveau des sites ont été également organisées. « L’atelier régional a permis de valider la demande auprès de tous les acteurs. La région Boeny en bénéficiera de nombreux avantages. Entre autres, des aides dans la gestion des catastrophes naturelles, et des aides pour la protection des forêts. Mais surtout, le nombre des touristes qui visiteront le parc et la région Boeny augmentera », a expliqué le représentant de l’USAID, Lovasoa Andriamanantena. Pour être inscrit au patrimoine mondial de l’Unesco, dix critères sont au minimum exigés. Dans le cas du Parc national d’Ankafarantsika, un seul suffirait. « Le taux d’endémicité est suffisant pour convaincre les décideurs au sein de l’Unesco», a rassuré le responsable.