Célébration de la Journée mondiale du refus de la misère, hier. Une occasion pour les Mauriciens de faire le point sur le Plan Marshall contre la Pauvreté. Sur les 18 500 familles mauriciennes et 4 200 familles rodriguaises inscrites au registre social, 14 400 d'entre elles ont été inspectées. Les fonctionnaires de la National Empowerment Foundation (NEF) continueront cet exercice jusqu’au 31 octobre. Alors que les visites des foyers vont bon train, faisons le point. Comment ces inspections sont-elles effectuées Quelles sont les procédures pour établir le registre social Éléments de réponse. Clifford Vellien, Communication Manager de la NEF, explique que «la visite des foyers est une étape essentielle dans la création d’un nouveau registre social. Il faut vérifier que les informations fournies par les familles sont vraies». Pour ce faire, plusieurs critères sont pris en considération. «Nous examinons des détails, tels que l’accès aux facilités sanitaires, le nombre d’enfants et de chambres, ou encore s’il y a des gens malades», indique-t-il. D’ajouter qu’il faut porter une attention particulière à l’état de la maison. Alloccation D’ailleurs, chaque officier est muni d’un questionnaire afin de rester objectif lors des inspections. Une fois ces visites effectuées, c’est le ministère de la Sécurité sociale qui entre en jeu. Toutes les données obtenues sont communiquées à la cellule du Social Register of Mauritius, qui les analyse. Ainsi, une liste de personnes qui pourront avoir droit à une allocation est dressée. Le ministère a ainsi le dernier mot et le pouvoir de décaisser les fonds. Ce projet a été lancé par le ministre des Finances, Pravind Jugnauth, lors de la présentation du budget en juillet dernier. Le registre social permettra aux familles dont les revenus ne dépassent pas un barème établi, en prenant en considération le nombre d’adultes et d’enfants dans chaque foyer, de percevoir une allocation mensuelle. © lexpress.mu
Célébration de la Journée mondiale du refus de la misère, hier. Une occasion pour les Mauriciens de faire le point sur le Plan Marshall contre la Pauvreté. Sur les 18 500 familles mauriciennes et 4 200 familles rodriguaises inscrites au registre social, 14 400 d'entre elles ont été inspectées. Les fonctionnaires de la National Empowerment Foundation (NEF) continueront cet exercice jusqu’au 31 octobre. Alors que les visites des foyers vont bon train, faisons le point. Comment ces inspections sont-elles effectuées Quelles sont les procédures pour établir le registre social Éléments de réponse. Clifford Vellien, Communication Manager de la NEF, explique que «la visite des foyers est une étape essentielle dans la création d’un nouveau registre social. Il faut vérifier que les informations fournies par les familles sont vraies». Pour ce faire, plusieurs critères sont pris en considération. «Nous examinons des détails, tels que l’accès aux facilités sanitaires, le nombre d’enfants et de chambres, ou encore s’il y a des gens malades», indique-t-il. D’ajouter qu’il faut porter une attention particulière à l’état de la maison. Alloccation D’ailleurs, chaque officier est muni d’un questionnaire afin de rester objectif lors des inspections. Une fois ces visites effectuées, c’est le ministère de la Sécurité sociale qui entre en jeu. Toutes les données obtenues sont communiquées à la cellule du Social Register of Mauritius, qui les analyse. Ainsi, une liste de personnes qui pourront avoir droit à une allocation est dressée. Le ministère a ainsi le dernier mot et le pouvoir de décaisser les fonds. Ce projet a été lancé par le ministre des Finances, Pravind Jugnauth, lors de la présentation du budget en juillet dernier. Le registre social permettra aux familles dont les revenus ne dépassent pas un barème établi, en prenant en considération le nombre d’adultes et d’enfants dans chaque foyer, de percevoir une allocation mensuelle. © lexpress.mu