Des suspicions de malades d’Alzheimer ont été enregistrées. C’était au siège de l’Organisation non gouvernementale (ONG) Madagascar Alzheimer Masoandro Mody à Mahazoarivo, samedi, lors de la journée consacrée au dépistage, organisée par l’ONG. « Le neurologue qui a dirigé l’événement a affirmé que sur les quatre-vingt personnes qui ont subi le test, nombreux ont présenté les signes de la maladie. Il va encore confirmer ces cas», a indiqué la présidente fondatrice de l’ONG, Yollande Rason-Andriamaro, hier. Le rapport chiffré ne sera donc disponible qu’ultérieurement. Cette annonce de la hausse probable des victimes est regrettable. Car même si la démence est confirmée, la famille de la victime devra supporter, elle seule, et par son propre savoir-faire, les conséquences. Il n’existe qu’une seule ONG qui prend en charge, les malades d’Alzheimer, jusqu’ici. Elle n’accueille que six malades, trois fois par semaines. L’État, pour sa part, ne dispose d’aucun établissement et possède très peu de personnel, quelques neurologues, mais aucun assistant spécialisé pour les malades d’Alzheimer, qui pourraient aider les victimes et leur famille.
Des suspicions de malades d’Alzheimer ont été enregistrées. C’était au siège de l’Organisation non gouvernementale (ONG) Madagascar Alzheimer Masoandro Mody à Mahazoarivo, samedi, lors de la journée consacrée au dépistage, organisée par l’ONG. « Le neurologue qui a dirigé l’événement a affirmé que sur les quatre-vingt personnes qui ont subi le test, nombreux ont présenté les signes de la maladie. Il va encore confirmer ces cas», a indiqué la présidente fondatrice de l’ONG, Yollande Rason-Andriamaro, hier. Le rapport chiffré ne sera donc disponible qu’ultérieurement. Cette annonce de la hausse probable des victimes est regrettable. Car même si la démence est confirmée, la famille de la victime devra supporter, elle seule, et par son propre savoir-faire, les conséquences. Il n’existe qu’une seule ONG qui prend en charge, les malades d’Alzheimer, jusqu’ici. Elle n’accueille que six malades, trois fois par semaines. L’État, pour sa part, ne dispose d’aucun établissement et possède très peu de personnel, quelques neurologues, mais aucun assistant spécialisé pour les malades d’Alzheimer, qui pourraient aider les victimes et leur famille.