ela fait belle lurette que la capitale ne brille plus de mille feux comme c’est le cas actuellement. Jeux des îles obligent, l’éclairage public a retrouvé une seconde jeunesse après avoir été délaissé complètement par les édiles successifs. Pendant de longues années ce qu’il aurait dû être une des priorités de la gestion de la ville a été le dernier des soucis des autorités. Mais ni l’État central ni les autorités n’ont pas daigné accorder une quelconque importance à ce volet. Pourtant il aura fallu une petite dose de volonté pour que les choses changent. La technologie solaire aidant, l’éclairage de la capitale coûte moins cher alors qu’on gagne en intensité de lumière Et tout change, le célèbre poème d’Ener Lalande “ Mba tazano somary alaviro. Izato Iarivo mirehitra jiro. Fa manemboka aingam-panahy. Ny sento hofongarin’ny tsiahy” retrouve toute sa splendeur. Pendant des années c’était plutôt “ Mba tazano somary alaviro, Iarivo nilaozan’ny jiro” Et le groupe Gold a traduit ainsi dans un de ses tubes des années 80, “Ville de lumière” Comme un diamant qui se pose Aux branches de mes doigts Tu brillais chaque nuit devant moi Ville de lumière, j’ai besoin de toi. C’est d’autant plus magnifique que le miracle se tient en plein délestage. L’éclairage est indispensable pour le charme de la ville et surtout pour la sécurité des citadins. C’est facile à comprendre que l’éclairage réduit les actes de banditisme sans pour autant l’annihiler étant donné que même la lumière du jour n’empêche pas les malfrats de frapper. Mais une ville éclairée c’est tout de même autre chose. Reste à savoir si l’initiative ira au delà des Jeux des îles aussi bien concernant l’éclairage public que l’enlèvement des ordures. À Antanimena, l’éclairage de la rue longeant l’ex-Sicam n’a duré que le temps de la visite du pape François en 2019. Il a fallu attendre l’organisation des Jeux des îles pour les rallumer. C’est dommage qu’on ne fait les choses que pour les beaux yeux des illustres visiteurs ou pour les échéances électorales et non pour rendre service et ce qui leur revient aux pauvres contribuables. Il faut en finir une fois pour toutes au Tanan..archie.
ela fait belle lurette que la capitale ne brille plus de mille feux comme c’est le cas actuellement. Jeux des îles obligent, l’éclairage public a retrouvé une seconde jeunesse après avoir été délaissé complètement par les édiles successifs. Pendant de longues années ce qu’il aurait dû être une des priorités de la gestion de la ville a été le dernier des soucis des autorités. Mais ni l’État central ni les autorités n’ont pas daigné accorder une quelconque importance à ce volet. Pourtant il aura fallu une petite dose de volonté pour que les choses changent. La technologie solaire aidant, l’éclairage de la capitale coûte moins cher alors qu’on gagne en intensité de lumière Et tout change, le célèbre poème d’Ener Lalande “ Mba tazano somary alaviro. Izato Iarivo mirehitra jiro. Fa manemboka aingam-panahy. Ny sento hofongarin’ny tsiahy” retrouve toute sa splendeur. Pendant des années c’était plutôt “ Mba tazano somary alaviro, Iarivo nilaozan’ny jiro” Et le groupe Gold a traduit ainsi dans un de ses tubes des années 80, “Ville de lumière” Comme un diamant qui se pose Aux branches de mes doigts Tu brillais chaque nuit devant moi Ville de lumière, j’ai besoin de toi. C’est d’autant plus magnifique que le miracle se tient en plein délestage. L’éclairage est indispensable pour le charme de la ville et surtout pour la sécurité des citadins. C’est facile à comprendre que l’éclairage réduit les actes de banditisme sans pour autant l’annihiler étant donné que même la lumière du jour n’empêche pas les malfrats de frapper. Mais une ville éclairée c’est tout de même autre chose. Reste à savoir si l’initiative ira au delà des Jeux des îles aussi bien concernant l’éclairage public que l’enlèvement des ordures. À Antanimena, l’éclairage de la rue longeant l’ex-Sicam n’a duré que le temps de la visite du pape François en 2019. Il a fallu attendre l’organisation des Jeux des îles pour les rallumer. C’est dommage qu’on ne fait les choses que pour les beaux yeux des illustres visiteurs ou pour les échéances électorales et non pour rendre service et ce qui leur revient aux pauvres contribuables. Il faut en finir une fois pour toutes au Tanan..archie.