Sur son deux-roues, une Mak 50, un père de famille âgé de 64 ans s’est tué dans une collision frontale, hier matin aux alentours de 7h30, à Antongombato Mahitsy, sur la RN4. Il allait rentrer à Ankazobe quand le pire l’a frappé. D’après les témoignages recueillis par la gendarmerie, il avait évité un chien qui a soudainement coupé sa route. Du coup, il a fini par heurter de plein fouet un camion roulant en direction de la capitale. Il n’a pas survécu à la violence du choc, gisant sur la chaussée. Sa moto a complètement été endommagée. Le poids lourd a été immobilisé en attendant les forces de l’ordre. Sitôt mis aux faits, des gendarmes se sont rendus sur place et ont dressé les constatations. Puis, ils ont transporté la dépouille du défunt vers la morgue de l’hôpital de Bejofo où la famille pourra la récupérer. Pour la suite de la procédure, « nous sommes en train d’en rendre compte au ministère public. Lors d' un incident de ce genre, on doit l'aviser, puis c’est à lui de décider d'une garde-à-vue ou non», selon un responsable à la brigade de la gendarmerie de Mahitsy en parlant de la situation du chauffeur.
Sur son deux-roues, une Mak 50, un père de famille âgé de 64 ans s’est tué dans une collision frontale, hier matin aux alentours de 7h30, à Antongombato Mahitsy, sur la RN4. Il allait rentrer à Ankazobe quand le pire l’a frappé. D’après les témoignages recueillis par la gendarmerie, il avait évité un chien qui a soudainement coupé sa route. Du coup, il a fini par heurter de plein fouet un camion roulant en direction de la capitale. Il n’a pas survécu à la violence du choc, gisant sur la chaussée. Sa moto a complètement été endommagée. Le poids lourd a été immobilisé en attendant les forces de l’ordre. Sitôt mis aux faits, des gendarmes se sont rendus sur place et ont dressé les constatations. Puis, ils ont transporté la dépouille du défunt vers la morgue de l’hôpital de Bejofo où la famille pourra la récupérer. Pour la suite de la procédure, « nous sommes en train d’en rendre compte au ministère public. Lors d' un incident de ce genre, on doit l'aviser, puis c’est à lui de décider d'une garde-à-vue ou non», selon un responsable à la brigade de la gendarmerie de Mahitsy en parlant de la situation du chauffeur.