Tous les grands établissements hospitaliers de la capitale peuvent, désormais, prendre en charge les personnes qui développent les formes graves de la covid-19. Ils disposent de circuits d’oxygène et d’autre matériel médical nécessaire à la réanimation. Le Centre hospitalier universitaire (CHU) Joseph Ravoahangy Andrianavalona (JRA) et le Centre hospitalier de Soavinandriana (ou hôpital militaire) ont été désignés pour s’occuper des formes graves, avec le CHU Joseph Raseta de Befelatànana, celui d’Anosiala et celui d’Andohatapenaka. « Le ministère de la Santé publique a prévu une éventuelle hausse du nombre de personnes présentant des détresses respiratoires. Il s’est préparé à accueillir davantage de cas », explique le Pr Zely Arivelo Randriamanantany, directeur général de la Fourniture des soins auprès du ministère. La capacité de ces hôpitaux n’est pas précisée. « Ils peuvent libérer des salles, selon les besoins », poursuit le responsable. Hier, le Centre de commandement opérationnel a rapporté quatre vingt six formes graves, la plupart étant hospitalisés à Tana.
Tous les grands établissements hospitaliers de la capitale peuvent, désormais, prendre en charge les personnes qui développent les formes graves de la covid-19. Ils disposent de circuits d’oxygène et d’autre matériel médical nécessaire à la réanimation. Le Centre hospitalier universitaire (CHU) Joseph Ravoahangy Andrianavalona (JRA) et le Centre hospitalier de Soavinandriana (ou hôpital militaire) ont été désignés pour s’occuper des formes graves, avec le CHU Joseph Raseta de Befelatànana, celui d’Anosiala et celui d’Andohatapenaka. « Le ministère de la Santé publique a prévu une éventuelle hausse du nombre de personnes présentant des détresses respiratoires. Il s’est préparé à accueillir davantage de cas », explique le Pr Zely Arivelo Randriamanantany, directeur général de la Fourniture des soins auprès du ministère. La capacité de ces hôpitaux n’est pas précisée. « Ils peuvent libérer des salles, selon les besoins », poursuit le responsable. Hier, le Centre de commandement opérationnel a rapporté quatre vingt six formes graves, la plupart étant hospitalisés à Tana.