Dix jours après le meurtre de la responsable du personnel d’une usine fabricante de biscuits à Tanjondava, commune de Talatamaty, la gendarmerie n’a toujours ciblé aucun suspect. Ce jour, elle procédera à l’audition des collaborateurs de la victime, comme l’a signalé le commandant de brigade, hier. « Nous avons déjà terminé l’enquête de voisinage, durant laquelle des proches de cette femme ont également été interrogés. Maintenant, nous allons visiter son lieu de travail », explique-t-il. La gendarmerie a annoncé être au cœur de ses investigations autour de cette affaire criminelle. Jusqu’ici, aucune information pouvant déterminer le mobile du crime n’est plausible. De plus, les fins limiers semblent être tenus par le secret et évitent d’en toucher mot. En revenant aux circonstances, la responsable du personnel, âgée de 32 ans, partait travailler le 9 juillet, quand elle a été froidement tuée à coups de bois rond en pleine tête, à Ambaniavaratra. Cette scène laisse à croire, d’après nombreuses spéculations des voisins, qu’il s’agissait certainement d’un acte prémédité, mais dont la cause reste un mystère.
Dix jours après le meurtre de la responsable du personnel d’une usine fabricante de biscuits à Tanjondava, commune de Talatamaty, la gendarmerie n’a toujours ciblé aucun suspect. Ce jour, elle procédera à l’audition des collaborateurs de la victime, comme l’a signalé le commandant de brigade, hier. « Nous avons déjà terminé l’enquête de voisinage, durant laquelle des proches de cette femme ont également été interrogés. Maintenant, nous allons visiter son lieu de travail », explique-t-il. La gendarmerie a annoncé être au cœur de ses investigations autour de cette affaire criminelle. Jusqu’ici, aucune information pouvant déterminer le mobile du crime n’est plausible. De plus, les fins limiers semblent être tenus par le secret et évitent d’en toucher mot. En revenant aux circonstances, la responsable du personnel, âgée de 32 ans, partait travailler le 9 juillet, quand elle a été froidement tuée à coups de bois rond en pleine tête, à Ambaniavaratra. Cette scène laisse à croire, d’après nombreuses spéculations des voisins, qu’il s’agissait certainement d’un acte prémédité, mais dont la cause reste un mystère.