Furieux après une coupure générale de l’électricité, une cohue de téléspectateurs a assailli le siège de la Jirama. La crainte d’une reprise de violence stoppe net les arrestations. La vie des habitants retrouve peu à peu son cours normal à Vava-tenina après les émeutes ayant embrasé la ville pendant la finale de la coupe du monde. Alors qu’une tentative d’incendie criminel a été perpétrée contre le siège de la compagnie de l’eau et de l’électricité (Jirama) à Ampasimbola Andamasi-nina dimanche soir, et les locaux pillés et mis à sac, aucune arrestation n’est jusqu’à maintenant signalée. L’Organe Mixte de Conception (OMC) au niveau du district a pris l’affaire en main. Aucune disposition judiciaire n’est en revanche prise pour l’instant. L’installation d’une atmos-phère d’apaisement ainsi qu’une crainte d’une possible reprise des hostilités sont évoquées. Les informations recueillies auprès des forces de l’ordre révèlent par ailleurs que la branche locale de la Jirama n’a pas encore porté plainte. Le constat des enquêteurs révèle néanmoins que des fournitures bureautiques ainsi que du matériel informatique ont été dérobés au mis à mal. Employés terrifiés A la centrale thermique, située au centre ville, d’autres dégâts sont en revanche signalés. C’est une récurrente coupure d’électricité qui a mis le feu aux poudres. D’après les informations communiquées, un délestage tournant sévit chaque soir dans les quartiers depuis le mois de mars, suite à une panne de générateurs. Lors de la finale du Mondial, le courant a été coupé quinze minutes après le début du match, dans un quartier voisin d’ Ampasim-bola Andamasinina, où est sis la Jirama. Furieux, des riverains s’y sont rués, réclamant le rétablissement de l’électricité. Alors que ces premiers manifestants se sont retirés suite à l’intervention de la gendarmerie et après le retour du courant dans leurs foyers, une horde de téléspectateurs furieux a pris en étau la centrale thermique pour le couvrir de jets de pierres. Désemparés, les employés sur place, chargés de faire fonctionner les machines ont quitté les lieux, provoquant ainsi une coupure générale laquelle a plongé l’ensemble de la ville dans un blackout total pendant la deuxième mi-temps de ce match décisif entre la France et la Croatie. En un éclair, une cohue d’individus en état d’énervement total a pris d’assaut le siège de la Jirama à Ampasimbola Andamasinina pour y commettre des actes de vandalisme, jusqu’à maintenant laissés impunis.
Furieux après une coupure générale de l’électricité, une cohue de téléspectateurs a assailli le siège de la Jirama. La crainte d’une reprise de violence stoppe net les arrestations. La vie des habitants retrouve peu à peu son cours normal à Vava-tenina après les émeutes ayant embrasé la ville pendant la finale de la coupe du monde. Alors qu’une tentative d’incendie criminel a été perpétrée contre le siège de la compagnie de l’eau et de l’électricité (Jirama) à Ampasimbola Andamasi-nina dimanche soir, et les locaux pillés et mis à sac, aucune arrestation n’est jusqu’à maintenant signalée. L’Organe Mixte de Conception (OMC) au niveau du district a pris l’affaire en main. Aucune disposition judiciaire n’est en revanche prise pour l’instant. L’installation d’une atmos-phère d’apaisement ainsi qu’une crainte d’une possible reprise des hostilités sont évoquées. Les informations recueillies auprès des forces de l’ordre révèlent par ailleurs que la branche locale de la Jirama n’a pas encore porté plainte. Le constat des enquêteurs révèle néanmoins que des fournitures bureautiques ainsi que du matériel informatique ont été dérobés au mis à mal. Employés terrifiés A la centrale thermique, située au centre ville, d’autres dégâts sont en revanche signalés. C’est une récurrente coupure d’électricité qui a mis le feu aux poudres. D’après les informations communiquées, un délestage tournant sévit chaque soir dans les quartiers depuis le mois de mars, suite à une panne de générateurs. Lors de la finale du Mondial, le courant a été coupé quinze minutes après le début du match, dans un quartier voisin d’ Ampasim-bola Andamasinina, où est sis la Jirama. Furieux, des riverains s’y sont rués, réclamant le rétablissement de l’électricité. Alors que ces premiers manifestants se sont retirés suite à l’intervention de la gendarmerie et après le retour du courant dans leurs foyers, une horde de téléspectateurs furieux a pris en étau la centrale thermique pour le couvrir de jets de pierres. Désemparés, les employés sur place, chargés de faire fonctionner les machines ont quitté les lieux, provoquant ainsi une coupure générale laquelle a plongé l’ensemble de la ville dans un blackout total pendant la deuxième mi-temps de ce match décisif entre la France et la Croatie. En un éclair, une cohue d’individus en état d’énervement total a pris d’assaut le siège de la Jirama à Ampasimbola Andamasinina pour y commettre des actes de vandalisme, jusqu’à maintenant laissés impunis.