Du nouveau au sein du groupement de la Gendarmerie nationale du Vakinankaratra. Le colonel Yvon Patrick Rasambomanana vient de passer le commandement à son successeur, le colonel Radosoa Randrianarimasy. En tant que nouveau responsable des trois compagnies existant dans la région, à savoir celles de Mandoto, d’Ambatolampy et d’Antsirabe, le nouveau commandant de groupement a promis d’accomplir avec méthodologie et stratégie les tâches qui lui sont conférées, dont le maintien de la sécurité et la lutte contre la corruption. La passation de commandement contribue ainsi à la réalisation de la politique du gouvernement sur la sécurité interne, mais veut aussi redorer l’image de ce corps. Le secrétaire d’État en charge de la Gendarmerie nationale, le général Richard Ravalomanana qui est venu honorer la cérémonie, n’a pas hésité à mettre les points sur les « i », en énumérant les mauvaises habitudes des membres de ce corps. « Quarante et un gendarmes sont actuellement en prison pour cause de corruption », souligne-t-il. Des urnes de doléances en cas de corruption ou de violence commise par les agents des forces de l’ordre sont aussi à la disposition du public.
Du nouveau au sein du groupement de la Gendarmerie nationale du Vakinankaratra. Le colonel Yvon Patrick Rasambomanana vient de passer le commandement à son successeur, le colonel Radosoa Randrianarimasy. En tant que nouveau responsable des trois compagnies existant dans la région, à savoir celles de Mandoto, d’Ambatolampy et d’Antsirabe, le nouveau commandant de groupement a promis d’accomplir avec méthodologie et stratégie les tâches qui lui sont conférées, dont le maintien de la sécurité et la lutte contre la corruption. La passation de commandement contribue ainsi à la réalisation de la politique du gouvernement sur la sécurité interne, mais veut aussi redorer l’image de ce corps. Le secrétaire d’État en charge de la Gendarmerie nationale, le général Richard Ravalomanana qui est venu honorer la cérémonie, n’a pas hésité à mettre les points sur les « i », en énumérant les mauvaises habitudes des membres de ce corps. « Quarante et un gendarmes sont actuellement en prison pour cause de corruption », souligne-t-il. Des urnes de doléances en cas de corruption ou de violence commise par les agents des forces de l’ordre sont aussi à la disposition du public.