Droit humain - La discrimination du genre abolie


De l’histoire ancienne. L'inégalité entre homme et femme cesse d’exister. Désormais, les femmes profitent du droit parental. Quant une femme malgache enfante, elle a maintenant le droit de transmettre sa nationalité à son enfant. Le ministre de la population, Onitiana Realy, a soutenu l'initiative du ministère de la Justice en proposant un nouvel article à l'Assemblée Nationale et aux Sénateurs, « est Malgache né d'un père et/ou d'une mère malgache ». Le Président de la république s'est aussi engagé à promouvoir l'adoption d'une législation sur la nationalité qui soit inclusive, non discriminatoire et conforme aux droits humains lors du sommet humanitaire mondiale en Turquie. « Femmes et hommes jouiront ainsi de droits égaux concernant la transmission de leur nationalité à leurs enfants » souligne le Chef de l'État malgache. « Nos initiatives communes ont permis d'aboutir à cette victoire qui donnera, enfin, à toute femme malgache sans discrimination, la possibilité de transmettre sa nationalité à son enfant. C'est aux parlements de se prononcer sur ce nouveau texte », explique Onitiana Realy. La discrimination sexuelle, autrefois, règne à Madagascar. L'enfant d'une femme légitime d’un homme de nationalité étrangère n’acquiert pas la nationalité malgache. L'enfant ne mérite ce droit que dans le cas d’une paternité inconnue. Helifetra Randriaminovololona
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