Bouliste chevronnée, Francine Randriambahiny , alias Cicine, a décidé d’aider les jeunes talents dernièrement. Un choix judicieux, vu la victoire de dimanche dernier durant la coupe nationale. Francine Randriambahiny a ajouté un nouveau trophée à son tableau de chasse, dimanche. Aux côtés de Volatiana Andriamihaja du Club bouliste Bon Avenir (C2BA) Antsirabe et de Nirinaniaina Monique, alias Tita, respectivement aux postes de pointeuse et de milieu, elle a remporté la coupe nationale, au boulodrome d’Imerintsiatosika. Une victoire acquise au bout de la nuit et sous une pluie fine. Des conditions qui ne l’ont pas gênée, d’après ses propos : « C’est pareil en compétition internationale. Qu’il fasse nuit ou qu’il pleuve, on continue à jouer, sauf si l’arbitre en décide autrement. Personnellement, j’y suis habituée et cela ne m’a pas dérangée ». Les années passent, mais elle reste au plus haut niveau. Elle évolue aujourd’hui avec deux jeunes joueuses, Tita et Vola. Un choix inspiré des boulistes français de renom: « Quintais et Suchaud ont décidé de rejouer avec le jeune Dylan Rocher. Le succès fut au rendez-vous. J’ai décidé d’en faire autant, pour aider la relève à fructifier son potentiel. Un respect mutuel se distingue entre Tita, Vola et moi. J’essaie toujours de partager avec elles mes expériences ». Cicine et Tita se connaissent depuis longtemps. Entre autres, elles ont disputé ensemble le Mondial 2017, en Chine.
Bouliste chevronnée, Francine Randriambahiny , alias Cicine, a décidé d’aider les jeunes talents dernièrement. Un choix judicieux, vu la victoire de dimanche dernier durant la coupe nationale. Francine Randriambahiny a ajouté un nouveau trophée à son tableau de chasse, dimanche. Aux côtés de Volatiana Andriamihaja du Club bouliste Bon Avenir (C2BA) Antsirabe et de Nirinaniaina Monique, alias Tita, respectivement aux postes de pointeuse et de milieu, elle a remporté la coupe nationale, au boulodrome d’Imerintsiatosika. Une victoire acquise au bout de la nuit et sous une pluie fine. Des conditions qui ne l’ont pas gênée, d’après ses propos : « C’est pareil en compétition internationale. Qu’il fasse nuit ou qu’il pleuve, on continue à jouer, sauf si l’arbitre en décide autrement. Personnellement, j’y suis habituée et cela ne m’a pas dérangée ». Les années passent, mais elle reste au plus haut niveau. Elle évolue aujourd’hui avec deux jeunes joueuses, Tita et Vola. Un choix inspiré des boulistes français de renom: « Quintais et Suchaud ont décidé de rejouer avec le jeune Dylan Rocher. Le succès fut au rendez-vous. J’ai décidé d’en faire autant, pour aider la relève à fructifier son potentiel. Un respect mutuel se distingue entre Tita, Vola et moi. J’essaie toujours de partager avec elles mes expériences ». Cicine et Tita se connaissent depuis longtemps. Entre autres, elles ont disputé ensemble le Mondial 2017, en Chine.