Canal Plus a lancé hier l’offre Novegasy avec pour objectif de promouvoir le cinéma malgache. Une initiative soutenue par le ministère de la Communication et de la Culture. Mode survie. C’est la situation dans laquelle le milieu cinématographie malgache s’empêtre jusqu’à présent. Ce constat a été exposé lors de la relance de l’offre « Novegasy » de Canal Plus à Andohatapenaka où tout le gratin du cinéma local s’est réuni. Miné par le piratage, le manque de moyen et une législation vacillante, le cinéma malgache arrive tant bien que mal à se développer. « Le septième art à Madagascar accuse un retard de développement. Le système de lutte anti-piratage est quasi inexistant avec une efficacité contestable. Cependant, des réformes sont en cours au niveau de la politique culturelle en réponse à ces défaillances », rassure Lalatiana Rakotondrazafy Andriatongarivo, ministre de la Communication et de la Culture. Une façon pour cette responsable de mettre en avant le cadre du développement de l’audiovisuel où le ministère chargé de la Culture mène des actions favorisant le développement cinématographique et audiovisuel en privilégie une stratégie, encourageant l’émergence et le développement d’un secteur privé capable de répondre aux besoins actuels et futurs de canaux de diffusion tout en favorisant la distribution et l’exploitation des œuvres cinématographiques et audiovisuelles et à leur insertion dans les divers circuits possible.
Canal Plus a lancé hier l’offre Novegasy avec pour objectif de promouvoir le cinéma malgache. Une initiative soutenue par le ministère de la Communication et de la Culture. Mode survie. C’est la situation dans laquelle le milieu cinématographie malgache s’empêtre jusqu’à présent. Ce constat a été exposé lors de la relance de l’offre « Novegasy » de Canal Plus à Andohatapenaka où tout le gratin du cinéma local s’est réuni. Miné par le piratage, le manque de moyen et une législation vacillante, le cinéma malgache arrive tant bien que mal à se développer. « Le septième art à Madagascar accuse un retard de développement. Le système de lutte anti-piratage est quasi inexistant avec une efficacité contestable. Cependant, des réformes sont en cours au niveau de la politique culturelle en réponse à ces défaillances », rassure Lalatiana Rakotondrazafy Andriatongarivo, ministre de la Communication et de la Culture. Une façon pour cette responsable de mettre en avant le cadre du développement de l’audiovisuel où le ministère chargé de la Culture mène des actions favorisant le développement cinématographique et audiovisuel en privilégie une stratégie, encourageant l’émergence et le développement d’un secteur privé capable de répondre aux besoins actuels et futurs de canaux de diffusion tout en favorisant la distribution et l’exploitation des œuvres cinématographiques et audiovisuelles et à leur insertion dans les divers circuits possible.