"Il y a eu une baisse de tension au niveau de la sous-station d’Ambohijatovo", a indiqué le directeur de la communication Feno Randrianarison pour expliquer la perturbation de l’approvisionnement en électricité dans plusieurs quartiers de la capitale dimanche. "Comme la sous-station d’Ambohijatovo concerne plusieurs parties de la ville, les coupures ont touché différents quartiers comme Ambohimitsimbina, Andohalo, Besarety, Ankadivato ou encore Analakely", a-t-il précisé. Il a ajouté qu’il a fallu du temps pour la Jirama pour identifier la source du problème car il fallait ratisser tout le réseau. La défaillance a été localisée au niveau d’un élément dans un local à transformateurs à Analakely. Le problème est réglé depuis a affirmé Feno Randrianarison. Quoi qu’il en soit, plusieurs usagers du côté d’Ambohitrarahaba qui ont vu leur courant coupé depuis dimanche ont continué à se plaindre jusqu’aux heures tardives de la nuit hier sur la page Facebook de la compagnie. Les complaintes ne tarissent pas sur les publications de la Jirama venant d’autres parties la capitale.
"Il y a eu une baisse de tension au niveau de la sous-station d’Ambohijatovo", a indiqué le directeur de la communication Feno Randrianarison pour expliquer la perturbation de l’approvisionnement en électricité dans plusieurs quartiers de la capitale dimanche. "Comme la sous-station d’Ambohijatovo concerne plusieurs parties de la ville, les coupures ont touché différents quartiers comme Ambohimitsimbina, Andohalo, Besarety, Ankadivato ou encore Analakely", a-t-il précisé. Il a ajouté qu’il a fallu du temps pour la Jirama pour identifier la source du problème car il fallait ratisser tout le réseau. La défaillance a été localisée au niveau d’un élément dans un local à transformateurs à Analakely. Le problème est réglé depuis a affirmé Feno Randrianarison. Quoi qu’il en soit, plusieurs usagers du côté d’Ambohitrarahaba qui ont vu leur courant coupé depuis dimanche ont continué à se plaindre jusqu’aux heures tardives de la nuit hier sur la page Facebook de la compagnie. Les complaintes ne tarissent pas sur les publications de la Jirama venant d’autres parties la capitale.