Il est difficile de persuader les investisseurs de venir dans la Grande île. Des courts métrages promotionnels sont réalisés pour renverser cette situation. Porte-voix de la construction de l’image économique du pays. C’est en cette qualité que l’Economic Development Board of Madagascar (EDBM) a présenté vendredi, au Cinépax à Ambodivona, une série de films réalisée en vue d’être utilisés comme outil de promotion de ses activités. La destination Madagascar en tant que terre d’opportunité d’affaires sera véhiculée dans des courts métrages que l’EDBM utilisera lors de ces roadshows à l’étranger. Un argument de plus pour convaincre les investisseurs étrangers afin qu’ils viennent s’installer dans la Grande île, tout en suscitant la fibre entrepreneuriale chez les potentiels autochtones. « Puisque la mission de l’EDBM est d’instaurer un environnement favorable aux affaires à Madagascar, ces films offrent la possibilité à certains secteurs prioritaires d’augmenter leurs potentiels en terme d’attractivité », avance Andry Ravalomanda, directeur général de l’EDBM. Ainsi, trois films qui mettent en avant trois secteurs précis ainsi qu’un autre regroupant tous les secteurs d’activités économiques à Madagascar, ont-ils été présentés aux acteurs du secteur privé dont les jeunes entrepreneurs, les représentants des différents groupements de patronat ainsi que les représentants du ministère au guichet unique. Pour le moment, les secteurs de l’Agribusiness, le tourisme ainsi que les énergies renouvelables ont été mis en avant à part les autres secteurs prioritaires de l’EDBM comme le textile, les technologies de l’information ou encore les mines. Attractivité Cependant, avant de prospecter à des milliers de kilomètres, le guichet unique se veut d’abord d’être une institution en soutien aux opérateurs locaux dans la mesure où ce sont ces derniers sont la preuve vivante qu’il est possible d’investir à Madagascar et ce, à des conditions des plus favorables. Alors, pour que ces argumentations sur conditions d’investissement impactent, le plus possible, l’opinion des opérateurs, l’EDBM avance des arguments. Parmi ceux-ci, la situation géographique avantageuse du pays qui se trouve au carrefour de l’Asie et de l’Afrique, les possibilités d’exportations des produits sans taxe vers les États-Unis, l’Europe et l’Afrique, les qualifications de la main-d’œuvre bon marché avec un salaire minimum affiché à moins de cent dollars américains dans le film. Sans parler des coûts de facteur compétitif à l’image d’une électricité à moins de 0,10 dollars le Kwh, l’eau à moins de 0,33 dollars le m3 ou encore des loyers mensuels à partir de 2,4 dollars le m². « C’est cette image du pays que nous allons véhiculer dans le monde entier afin d’attirer le maximum d’investisseurs possibles et ainsi accomplir la mission première du guichet unique mis à part ces objectifs annexes comme la facilitation de créations d’entreprise par exemple », argue Tantely Rahoeliarivahy Rajobson, présidente du conseil d’administration de l’EDBM.
Il est difficile de persuader les investisseurs de venir dans la Grande île. Des courts métrages promotionnels sont réalisés pour renverser cette situation. Porte-voix de la construction de l’image économique du pays. C’est en cette qualité que l’Economic Development Board of Madagascar (EDBM) a présenté vendredi, au Cinépax à Ambodivona, une série de films réalisée en vue d’être utilisés comme outil de promotion de ses activités. La destination Madagascar en tant que terre d’opportunité d’affaires sera véhiculée dans des courts métrages que l’EDBM utilisera lors de ces roadshows à l’étranger. Un argument de plus pour convaincre les investisseurs étrangers afin qu’ils viennent s’installer dans la Grande île, tout en suscitant la fibre entrepreneuriale chez les potentiels autochtones. « Puisque la mission de l’EDBM est d’instaurer un environnement favorable aux affaires à Madagascar, ces films offrent la possibilité à certains secteurs prioritaires d’augmenter leurs potentiels en terme d’attractivité », avance Andry Ravalomanda, directeur général de l’EDBM. Ainsi, trois films qui mettent en avant trois secteurs précis ainsi qu’un autre regroupant tous les secteurs d’activités économiques à Madagascar, ont-ils été présentés aux acteurs du secteur privé dont les jeunes entrepreneurs, les représentants des différents groupements de patronat ainsi que les représentants du ministère au guichet unique. Pour le moment, les secteurs de l’Agribusiness, le tourisme ainsi que les énergies renouvelables ont été mis en avant à part les autres secteurs prioritaires de l’EDBM comme le textile, les technologies de l’information ou encore les mines. Attractivité Cependant, avant de prospecter à des milliers de kilomètres, le guichet unique se veut d’abord d’être une institution en soutien aux opérateurs locaux dans la mesure où ce sont ces derniers sont la preuve vivante qu’il est possible d’investir à Madagascar et ce, à des conditions des plus favorables. Alors, pour que ces argumentations sur conditions d’investissement impactent, le plus possible, l’opinion des opérateurs, l’EDBM avance des arguments. Parmi ceux-ci, la situation géographique avantageuse du pays qui se trouve au carrefour de l’Asie et de l’Afrique, les possibilités d’exportations des produits sans taxe vers les États-Unis, l’Europe et l’Afrique, les qualifications de la main-d’œuvre bon marché avec un salaire minimum affiché à moins de cent dollars américains dans le film. Sans parler des coûts de facteur compétitif à l’image d’une électricité à moins de 0,10 dollars le Kwh, l’eau à moins de 0,33 dollars le m3 ou encore des loyers mensuels à partir de 2,4 dollars le m². « C’est cette image du pays que nous allons véhiculer dans le monde entier afin d’attirer le maximum d’investisseurs possibles et ainsi accomplir la mission première du guichet unique mis à part ces objectifs annexes comme la facilitation de créations d’entreprise par exemple », argue Tantely Rahoeliarivahy Rajobson, présidente du conseil d’administration de l’EDBM.