Six jours après son rapt, Riaz Hassim, directeur général de la société Makiplast, a été relâché par ses ravisseurs. Le payement d’une forte rançon est signalé. Fin du calvaire pour le Français d’origine indienne Riaz Hassim, directeur général de la société Makiplast, connu dans la production et la commercialisation de produits dérivés de la transformation du plastique. Enlevé le vendredi 9 novembre en début de soirée, cet opérateur économique français d’origine indienne a retrouvé les siens, sain et sauf, dans la soirée de jeudi. Riaz Hassim a été relâché par ses ravisseurs au bout de six jours de captivité, après payement de rançon. Les circonstances de sa libération demeurent, néanmoins, floues pour l’instant. Le Collectif des Français d’Origine Indienne de Madagascar (CFOIM) est le premier à avoir publié le rapt au moment des faits. Sur sa page facebook, le collectif a indiqué que la victime a été enlevée aux abords du lotissement résidentiel Panoramique à Ambatobe. La police nationale a pourtant indiqué que le kidnapping a été perpétré sur la desserte d’Ambohimalala. Le commissariat de police du deuxième arrondissement à Faravohitra a été la première entité des forces de défense et de sécurité à avoir été informé du kidnapping. Il a aussitôt fait une liaison avec celui du huitième arrondissement. Recherches infructueuses Des éléments d’intervention ont été dépêchés sur les lieux mais les malfaiteurs ont réussi à s’évanouir dans la nature avant que les premiers ne débarquent. Malgré l’appel à témoin lancé par le collectif, en échange d’une promesse de forte récompense à quiconque susceptible de fournir des renseigne- ments sur les malfaiteurs, les investigations sont tombées sur un os. Les ravisseurs ont réussi à prendre le contrôle de la situation, une fois de plus, pour ne concéder à la libération du captif qu’après avoir arraché à ses proches un pactole. Le véhicule de Riaz Hassima été retrouvé abandonné dans les environs du lieu du crime. Âgé d’une quarantaine d’années, il appartient à la communauté Aga Khan. Résidant à Ambatobe, il allait regagner son foyer avant qu’il ne tombe dans les griffes de l’escouade de ravisseurs lourdement armés qui vient de faire parler d’elle.
Six jours après son rapt, Riaz Hassim, directeur général de la société Makiplast, a été relâché par ses ravisseurs. Le payement d’une forte rançon est signalé. Fin du calvaire pour le Français d’origine indienne Riaz Hassim, directeur général de la société Makiplast, connu dans la production et la commercialisation de produits dérivés de la transformation du plastique. Enlevé le vendredi 9 novembre en début de soirée, cet opérateur économique français d’origine indienne a retrouvé les siens, sain et sauf, dans la soirée de jeudi. Riaz Hassim a été relâché par ses ravisseurs au bout de six jours de captivité, après payement de rançon. Les circonstances de sa libération demeurent, néanmoins, floues pour l’instant. Le Collectif des Français d’Origine Indienne de Madagascar (CFOIM) est le premier à avoir publié le rapt au moment des faits. Sur sa page facebook, le collectif a indiqué que la victime a été enlevée aux abords du lotissement résidentiel Panoramique à Ambatobe. La police nationale a pourtant indiqué que le kidnapping a été perpétré sur la desserte d’Ambohimalala. Le commissariat de police du deuxième arrondissement à Faravohitra a été la première entité des forces de défense et de sécurité à avoir été informé du kidnapping. Il a aussitôt fait une liaison avec celui du huitième arrondissement. Recherches infructueuses Des éléments d’intervention ont été dépêchés sur les lieux mais les malfaiteurs ont réussi à s’évanouir dans la nature avant que les premiers ne débarquent. Malgré l’appel à témoin lancé par le collectif, en échange d’une promesse de forte récompense à quiconque susceptible de fournir des renseigne- ments sur les malfaiteurs, les investigations sont tombées sur un os. Les ravisseurs ont réussi à prendre le contrôle de la situation, une fois de plus, pour ne concéder à la libération du captif qu’après avoir arraché à ses proches un pactole. Le véhicule de Riaz Hassima été retrouvé abandonné dans les environs du lieu du crime. Âgé d’une quarantaine d’années, il appartient à la communauté Aga Khan. Résidant à Ambatobe, il allait regagner son foyer avant qu’il ne tombe dans les griffes de l’escouade de ravisseurs lourdement armés qui vient de faire parler d’elle.