Alors que leur coauteur, un faux prêtre, a été placé sous mandat de dépôt, directement à la maison de force de Tsiafahy, samedi, deux soi-disant sœurs ont échappé à l’arrestation de la police, hier. Ils sont tous incriminés pour escroquerie, faisant victime un grossiste de denrées de la capitale, en août. Le trio a acheté auprès du vendeur deux cent cinquante sacs de riz qu’il a prétextés être nécessaires à l’approvisionnement des pèlerins depuis les provinces à la réception du Pape. Berné surtout par leur tenue de religieux, le commerçant n’a pas hésité à les servir. Les deux sœurs usurpatrices ont, de leur côté, embarqué le riz dans leur camion, tandis que la prêtraille a amené le grossiste à Faravohitra, pour le paiement. C’est alors là qu’il l’a fui. Le 17 août, la victime a porté plainte à la sûreté urbaine de Tananarive (SUT). Hier, la police a tenté de chasser les deux fugitives, mais elles n’étaient plus chez elles. Deux acheteurs des butins, d’une valeur marchande de vingt millions d’ariary, ont bénéficié d’une liberté provisoire au terme de leur passage au Parquet, à Anosy, avec le faux confesseur.
Alors que leur coauteur, un faux prêtre, a été placé sous mandat de dépôt, directement à la maison de force de Tsiafahy, samedi, deux soi-disant sœurs ont échappé à l’arrestation de la police, hier. Ils sont tous incriminés pour escroquerie, faisant victime un grossiste de denrées de la capitale, en août. Le trio a acheté auprès du vendeur deux cent cinquante sacs de riz qu’il a prétextés être nécessaires à l’approvisionnement des pèlerins depuis les provinces à la réception du Pape. Berné surtout par leur tenue de religieux, le commerçant n’a pas hésité à les servir. Les deux sœurs usurpatrices ont, de leur côté, embarqué le riz dans leur camion, tandis que la prêtraille a amené le grossiste à Faravohitra, pour le paiement. C’est alors là qu’il l’a fui. Le 17 août, la victime a porté plainte à la sûreté urbaine de Tananarive (SUT). Hier, la police a tenté de chasser les deux fugitives, mais elles n’étaient plus chez elles. Deux acheteurs des butins, d’une valeur marchande de vingt millions d’ariary, ont bénéficié d’une liberté provisoire au terme de leur passage au Parquet, à Anosy, avec le faux confesseur.