La ville de Mahajanga n’a jamais été aussi animée et envahie durant la période des vacances. Les deux semaines les plus fréquentées par des touristes et estivants sont passées. Chaque année, des milliers de vacanciers surtout des résidents se précipitent et se ruent vers la Cité des Fleurs pour passer au moins cinq jours sur place. Mais jamais les animations et manifestations sportives, culturelles et cultuelles n’ont été aussi nombreuses. En dix jours, les championnats nationaux de basket-ball, de handisport ainsi que de rallye, la semaine des « Mpikabary malagasy », des tournois de beach-soccer et beach-volley, des concerts gratuits, le pèlerinage des fidèles de l’Église Jesosy Mamonjy, se sont tenus dans cette ville touristique. Chacun a trouvé une raison ou un prétexte d’organiser un voyage sur place. Le record national est battu. Les habitants ont connu les mêmes ambiances vécues par les Tananariviens dans les embouteillages à Tsaramandroso, Mahabibo et sur les axes principaux. Mais le plus dur était à la petite plage à Amborovy où des bouchons monstres s’étaient formées dès 9h du matin jusque tard vers 18h30. Tout le monde voulait aller à la plage, se baigner dans la mer et lézarder sur le sable, tout au long de la journée. Les bus ont été pris d’assaut, de longues files ont été observés devant les terminus des lignes n°12 et n°15. Les riverains ne seront pas tranquilles que vers la fin du mois de septembre. Même, l’ancien Président Marc Ravalomanana, avec son staff, était venu faire un bain de foule puis un bain de soleil la semaine dernière à Mahajanga. À la tombée de la nuit, tous les noctambules se retrouvent sur la promenade des Anglais au bord de la mer. Diverses animations les y attendent et surtout la dégustation de brochettes et des poissons grillés, du manioc accompagné d’achards de mangues vertes. Hier, les sapeurs-pompiers et les marchands de brochettes ont nettoyé le jardin des filaos, près de l’agence de la Banque centrale afin de prévenir les épidémies en cette période. De fait, la consommation d’aliments peut causer de la diarrhée ou de la fièvre typhoïde. Le village touristique peut rivaliser avec la fameuse place du littoral à Mahajanga be car l’endroit est éclairé et les promeneurs sont désormais presque en sécurité. Des stands sont montés sur place. Boissons et brochettes, samossas et autres sont proposés. Vero Andrianarisoa
La ville de Mahajanga n’a jamais été aussi animée et envahie durant la période des vacances. Les deux semaines les plus fréquentées par des touristes et estivants sont passées. Chaque année, des milliers de vacanciers surtout des résidents se précipitent et se ruent vers la Cité des Fleurs pour passer au moins cinq jours sur place. Mais jamais les animations et manifestations sportives, culturelles et cultuelles n’ont été aussi nombreuses. En dix jours, les championnats nationaux de basket-ball, de handisport ainsi que de rallye, la semaine des « Mpikabary malagasy », des tournois de beach-soccer et beach-volley, des concerts gratuits, le pèlerinage des fidèles de l’Église Jesosy Mamonjy, se sont tenus dans cette ville touristique. Chacun a trouvé une raison ou un prétexte d’organiser un voyage sur place. Le record national est battu. Les habitants ont connu les mêmes ambiances vécues par les Tananariviens dans les embouteillages à Tsaramandroso, Mahabibo et sur les axes principaux. Mais le plus dur était à la petite plage à Amborovy où des bouchons monstres s’étaient formées dès 9h du matin jusque tard vers 18h30. Tout le monde voulait aller à la plage, se baigner dans la mer et lézarder sur le sable, tout au long de la journée. Les bus ont été pris d’assaut, de longues files ont été observés devant les terminus des lignes n°12 et n°15. Les riverains ne seront pas tranquilles que vers la fin du mois de septembre. Même, l’ancien Président Marc Ravalomanana, avec son staff, était venu faire un bain de foule puis un bain de soleil la semaine dernière à Mahajanga. À la tombée de la nuit, tous les noctambules se retrouvent sur la promenade des Anglais au bord de la mer. Diverses animations les y attendent et surtout la dégustation de brochettes et des poissons grillés, du manioc accompagné d’achards de mangues vertes. Hier, les sapeurs-pompiers et les marchands de brochettes ont nettoyé le jardin des filaos, près de l’agence de la Banque centrale afin de prévenir les épidémies en cette période. De fait, la consommation d’aliments peut causer de la diarrhée ou de la fièvre typhoïde. Le village touristique peut rivaliser avec la fameuse place du littoral à Mahajanga be car l’endroit est éclairé et les promeneurs sont désormais presque en sécurité. Des stands sont montés sur place. Boissons et brochettes, samossas et autres sont proposés. Vero Andrianarisoa