«Attitude dictatoriale» de l’administration, «lenteur excessive» en ce qui concerne les procédures pour l’obtention des résultats d’examens, transport en commun à des horaires irréguliers, doléances qui restent sans réponse… Autant de problèmes auxquels disent faire face les étudiants de l’université de Maurice (UoM), qui vont passer à l’offensive. Avec le soutien de la Students' Union, ils organiseront une manifestation sur la terrasse du New Academic Complex contre l’administration de l’établissement, demain, à 13 h 30. Selon le représentant de la faculté des sciences, les étudiants ne peuvent plus supporter les problèmes auxquels ils doivent faire face. Ils se révoltent aussi contre la loi « injustement imposée » par le sénat de l’université, qui stipule que les certificats médicaux des étudiants ne sont pas valides pour justifier leur absence lors des examens s’ils n’ont pas été admis dans un hôpital public ou une clinique privée. Cette loi aurait contraint plusieurs étudiants à mettre fin à leurs études. Vendredi dernier, la vice-chancelière a expliqué que les doléances des étudiants ont bel et bien été reçues et que «l’université se penche sur la question»… © lexpress.mu
«Attitude dictatoriale» de l’administration, «lenteur excessive» en ce qui concerne les procédures pour l’obtention des résultats d’examens, transport en commun à des horaires irréguliers, doléances qui restent sans réponse… Autant de problèmes auxquels disent faire face les étudiants de l’université de Maurice (UoM), qui vont passer à l’offensive. Avec le soutien de la Students' Union, ils organiseront une manifestation sur la terrasse du New Academic Complex contre l’administration de l’établissement, demain, à 13 h 30. Selon le représentant de la faculté des sciences, les étudiants ne peuvent plus supporter les problèmes auxquels ils doivent faire face. Ils se révoltent aussi contre la loi « injustement imposée » par le sénat de l’université, qui stipule que les certificats médicaux des étudiants ne sont pas valides pour justifier leur absence lors des examens s’ils n’ont pas été admis dans un hôpital public ou une clinique privée. Cette loi aurait contraint plusieurs étudiants à mettre fin à leurs études. Vendredi dernier, la vice-chancelière a expliqué que les doléances des étudiants ont bel et bien été reçues et que «l’université se penche sur la question»… © lexpress.mu