L’école primaire publique (EPP ) d’Analanjahana Ambohimahazo, à Manandriana, construite par les parents d’élèves et enseignants de leurs propres ressources, a été incendiée la nuit de mercredi. D’après les premiers éléments de l’enquête de la gendarmerie et de la police nationale, le feu a été d’origine criminelle. Les auteurs restent inconnus jusqu’à présent. Aucune effraction n’a été constatée. Ils auraient brûlé le toit de chaume de l’extérieur. « L’établissement comprend deux classes. Il se trouve un peu plus loin du hameau. Elle n’est pas clôturée. Les villageois ont accouru vers les lieux quand ils ont remarqué les flammes. Une partie du matériel didactique a pu être sauvée. Par contre, le toit est réduit en cendres », raconte la police. Les parents d’élèves et enseignants font appel aux autorités concernées pour leur venir en aide, suite à cet acte de vandalisme. « Certains habitants de la zone sont capables de tous les forfaits. La situation m’étonne réellement. Je suis affecté ici depuis deux mois et j’en ai trop vu. Il y en a eu celui qui a agressé une personne au couteau, à ciel ouvert, au marché. Et il le fait sans problème. », a-t-on expliqué.
L’école primaire publique (EPP ) d’Analanjahana Ambohimahazo, à Manandriana, construite par les parents d’élèves et enseignants de leurs propres ressources, a été incendiée la nuit de mercredi. D’après les premiers éléments de l’enquête de la gendarmerie et de la police nationale, le feu a été d’origine criminelle. Les auteurs restent inconnus jusqu’à présent. Aucune effraction n’a été constatée. Ils auraient brûlé le toit de chaume de l’extérieur. « L’établissement comprend deux classes. Il se trouve un peu plus loin du hameau. Elle n’est pas clôturée. Les villageois ont accouru vers les lieux quand ils ont remarqué les flammes. Une partie du matériel didactique a pu être sauvée. Par contre, le toit est réduit en cendres », raconte la police. Les parents d’élèves et enseignants font appel aux autorités concernées pour leur venir en aide, suite à cet acte de vandalisme. « Certains habitants de la zone sont capables de tous les forfaits. La situation m’étonne réellement. Je suis affecté ici depuis deux mois et j’en ai trop vu. Il y en a eu celui qui a agressé une personne au couteau, à ciel ouvert, au marché. Et il le fait sans problème. », a-t-on expliqué.