Incompréhension, les clients de l’institution de microfinance OTIV craignent pour leurs placements et leurs épargnes. En effet, les membres de l’OTIV (Ombona Tahiry Ifampisamborana Vola : épargne mutuelle) de la région Boeny ont décidé de réclamer l’argent qu’ils ont perdu deux ans passés au sein de cette épargne mutuelle. Une situation qui s’est produite à cause d’une mauvaise passe dans laquelle l’institution de microfinance de la région a subi et qui a rendu cette dernière incapable de rembourser ses clients. L’amalgame persistant, les activités des agences de l’OTIV Tana en ont souffert. « Entre les agences Boeny et ceux d’Analamanga, les activités sont totalement indépendantes. Celle d’OTIV Tana est encore en mesure d’honorer et d’assurer les épargnes et investissement de ses clients », rassure Andrianomenjanahary Andrianjaka, directeur d’exploitation et de développement d’OTIV Tana. D’un autre côté, ses clients des OTIV Boeny sont toujours dans l’expectative quant aux promesses des responsables à propos d’un éventuel remboursement.
Incompréhension, les clients de l’institution de microfinance OTIV craignent pour leurs placements et leurs épargnes. En effet, les membres de l’OTIV (Ombona Tahiry Ifampisamborana Vola : épargne mutuelle) de la région Boeny ont décidé de réclamer l’argent qu’ils ont perdu deux ans passés au sein de cette épargne mutuelle. Une situation qui s’est produite à cause d’une mauvaise passe dans laquelle l’institution de microfinance de la région a subi et qui a rendu cette dernière incapable de rembourser ses clients. L’amalgame persistant, les activités des agences de l’OTIV Tana en ont souffert. « Entre les agences Boeny et ceux d’Analamanga, les activités sont totalement indépendantes. Celle d’OTIV Tana est encore en mesure d’honorer et d’assurer les épargnes et investissement de ses clients », rassure Andrianomenjanahary Andrianjaka, directeur d’exploitation et de développement d’OTIV Tana. D’un autre côté, ses clients des OTIV Boeny sont toujours dans l’expectative quant aux promesses des responsables à propos d’un éventuel remboursement.