Le taux de candidats signataires de la Charte élaborée dans le cadre des législatives a augmenté par rapport à l’élection présidentielle. 67% des candidats dans tout le territoire national se sont engagés à respecter la Charte dénommée « Toky Nomena ». C’est ce qu’a expliqué Maka Alphonse, président du Conseil du Fampihavanana Malagasy (CFM). Dans la prochaine étape, les douze entités qui composent le Comité paritaire ont mis en place un Comité de suivi pour l’application des critères prévus dans ce texte. Cependant, les cinq cent dix-huit candidats signataires sur les huit cent dix inscrits sur la liste officielle de la Commission électorale nationale indépendante (CENI) seront soumis à des critères d’évaluation au cours de la campagne. Tout comme les non signataires. Parmi les critères figurent l’attitude des candidats au regard de leurs partisans, le contrôle de la source de financement ainsi que les dépenses afférentes aux activités électorales. Face à la sensibilisation de la CENI et la Haute Cour Constitutionnelle (HCC) sur l’observation des irrégularités perpétrées par les candidats, le CFM par la voix de son président Alphonse Maka de souligner que la Charte ne revêt pas une force juridique. « Son esprit s’inscrit dans le rappel à l’ordre à l’endroit de tous les candidats sur les valeurs morales et le principe du Fampihavanana malagasy pour instaurer le climat d’apaisement pendant le processus électoral ».
Le taux de candidats signataires de la Charte élaborée dans le cadre des législatives a augmenté par rapport à l’élection présidentielle. 67% des candidats dans tout le territoire national se sont engagés à respecter la Charte dénommée « Toky Nomena ». C’est ce qu’a expliqué Maka Alphonse, président du Conseil du Fampihavanana Malagasy (CFM). Dans la prochaine étape, les douze entités qui composent le Comité paritaire ont mis en place un Comité de suivi pour l’application des critères prévus dans ce texte. Cependant, les cinq cent dix-huit candidats signataires sur les huit cent dix inscrits sur la liste officielle de la Commission électorale nationale indépendante (CENI) seront soumis à des critères d’évaluation au cours de la campagne. Tout comme les non signataires. Parmi les critères figurent l’attitude des candidats au regard de leurs partisans, le contrôle de la source de financement ainsi que les dépenses afférentes aux activités électorales. Face à la sensibilisation de la CENI et la Haute Cour Constitutionnelle (HCC) sur l’observation des irrégularités perpétrées par les candidats, le CFM par la voix de son président Alphonse Maka de souligner que la Charte ne revêt pas une force juridique. « Son esprit s’inscrit dans le rappel à l’ordre à l’endroit de tous les candidats sur les valeurs morales et le principe du Fampihavanana malagasy pour instaurer le climat d’apaisement pendant le processus électoral ».