Convocation à la gendarmerie - Ralaiseheno manque à l’appel


Absent. Convoqué pour enquête à la section de recherches criminelles de la gendarmerie à Fiadanana, Guy Maxime Ralaiseheno, une des figures du mouvement « MiaraManonja », ne s’y est pas présenté, jusqu’ici. À s’en tenir à une publication sur sa page Facebook, lundi, Guy Maxime Ralaiseheno a reçu une convocation pour enquête. Le document requiert qu’il se soit présenté à Fiadanana, le 15 février. Ce qu’il n’a pas fait, jusqu’à hier. La convocation est impulsée par un « soit transmis », du bureau du procureur du Tribunal de première instance (TPI), d’Antananarivo, faisant suite à une plainte déposée par la Direction des législations et des contentieux (DLC), rattachée à la Primature. La plainte faite par la DLC parle « de diffusion de nouvelle portant atteinte à l’ordre public et pouvant mener à la haine contre les dirigeants». À l’instar de Vonison Andrianjato, un autre visage du mouvement « MiaraManonja », Guy Maxime Ralaiseheno a fait faux bond à la gendarmerie. Contrairement à lui, toutefois, l’ancien ministre de la Communication n’a pas encore été notifié officiellement de sa convocation à la section de recherches criminelles. Deux journalistes membres du mouvement médiatique « Tambatra », ont également été convoqués à la section de recherches criminelles de Fiadanana, hier. Il s’agit de Soava Andriamarotafika et de Jean Claude Andriamalala de la station Viva. Ceci au motif « de propagation de nouvelles portant atteinte à l’ordre public». Ici aussi, la démarche des enquêteurs fait suite à un « soit transmis », du bureau du procureur du TPI d’Antananarivo.
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